Depuis 2007 et la crise des subprimes, l'économie mondiale s'est dégradée, et selon les acteurs de l'économie mondiale, la crise est établie depuis 2008. Ce terme est totalement justifié puisqu'on relève à partir de fin 2008 une baisse d'activité (0,8% pour le dernier trimestre de 2008, 0,4% pour le premier trimestre de 2009 et 1,4% pour le second trimestre). Par diverses politiques de relance, les États et les banques nationales (la banque centrale des États-Unis ou de l'Union européenne par exemple) espèrent une reprise.
Le taux de chômage actuel avoisine les 10% en fonction des classes et selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), il serait supérieur si les personnes touchant le revenu minimum d'insertion (RMI) étaient prises en compte. De plus, l'inflation est une notion abordée mais particulièrement difficile à comprendre, et malgré cette dernière, les consommateurs ont opté pour un comportement d'aversion, et se comportent de plus en plus prudemment.
Les fluctuations économiques décrivent des cycles réguliers de fréquence périodique et d'amplitude relativement fixe de l'activité économique. Chaque cycle comprend plusieurs phases : l'expansion et la récession. Alors que la récession décrit une baisse générale de l'économie, l'expansion induit une tendance à la hausse.
La conjoncture quant à elle désigne la situation générale de l'économie d'un pays, c'est-à-dire « l'ensemble des éléments concourants simultanément à caractériser une situation temporaire donnée » (Dictionnaire d'économie et de Science sociales de C.D. Echaudemaison).
Quels sont les facteurs qui influent sur l'économie ? Comment peut-on les mesurer ? Comment l'économie et les composantes de cette dernière influent-elles sur le consommateur ?
[...] Inflation et conjoncture en France en 2009 Sommaire Introduction I. Fluctuations économiques et conjoncture en France en 2009 Croissance Inflation Chômage II. Outils de mesure de l'inflation Indice des prix à la consommation Prix à la consommation Taux d'inflation Taux d'accroissement du PIB III. Répercussions sur l'économie La consommation Pouvoir d'achat Parité de pouvoir d'achat Indice Big Mac Conclusion Bibliographie Introduction Depuis 2007 et la crise des subprimes, l'économie mondiale s'est dégradée, et selon les acteurs de l'économie mondiale, la crise est établie depuis 2008. [...]
[...] Cela permet de mieux refléter les évolutions à court terme. Calcul: = Volume chainé à l'année n P = Prix Q = Quantité Taux d'accroissement du PIB Le PIB est un agrégat représentant le résultat final de l'activité de production des unités productrices résidentes. (INSEE) Le taux de croissance du PIB est un indicateur économique ; il permet de jauger son évolution d'une période à l'autre (mois, trimestre, année). On exprime généralement le résultat en pourcentage. Formule : Avec une année donnée et l'année qui la précède. [...]
[...] Le chômage représente l'ensemble des personnes de 15 ans et plus, privées d'emploi et en recherchant un (INSEE). Selon, le BIT (Bureau international du Travail), trois conditions sont nécessaires pour être chômeur : la capacité, la volonté et l'absence d'activité rémunérée. Sa mesure reste complexe : l'INSEE et l'ANPE utilisent deux approches pour recenser les chômeurs. L'ANPE prend en compte tous les demandeurs d'emploi, tandis que l'INSEE n'enregistre que ceux qui n'ont pas travaillé durant le mois. Ainsi, la première méthode archive 100.000 chômeurs de plus. [...]
[...] La PPA relative est utilisée pour une information entre deux périodes. Dans le calcul, on suppose que l'évolution du taux de change reflète l'évolution des prix relatifs. La PPA relative permet de mettre en évidence une variation de l'inflation. La PPA relative n'impose plus une proportionnalité entre taux de change et rapport des prix, mais seulement entre variation du taux de change nominal et variation du différentiel d'inflation. Il est important de souligner que la parité n'est pas étudiée à court terme mais plus à long terme. [...]
[...] L'inflation est un indicateur lié au gonflement de la masse monétaire. De ce fait, une augmentation trop rapide de la quantité de monnaie circulante au regard des richesses produites (incluses dans le PIB) occasionne une pression de la demande sur l'offre. Comme celle-ci ne croit pas au même rythme, cela induit une hausse des prix. En somme, l'inflation est liée aux taux d'intérêt. En effet, des taux d'intérêt bas engendrent la baisse du coût du crédit et donc dynamisent la demande des ménages ainsi que les investissements (entreprises, ménages, administrations). [...]
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