Indicateurs alternatifs, PIB, politiques publiques, commission Stiglitz, performance économique
Les situations de crises actuelles et passées ont soulevé des interrogations au sujet du PIB, le principal repère de pilotage des politiques publiques. En assimilant croissance et progrès, cet indicateur engendre un aveuglement, car il n'est pas forcément le résultat de l'amélioration du progrès social ou environnemental. La situation de crise actuelle nous interroge sur les alternatives possibles et le besoin d'élaborer une mesure du progrès social.
En France, la remise en cause du PIB a fait l'objet d'une commission nommée commission Stiglitz, l'objectif étant d'améliorer la mesure de la performance économique et du progrès social. Depuis, de nouveaux et nombreux indicateurs de développement humain durable ont vu le jour. Face à cette multitude d'indicateurs se cachent des incompatibilités.
[...] Alternative Economique émet quelques réserves , En effet la notion de surface moyenne proposé induit qu'une surface de terre agricole et une forêt est la même , de plus cet indicateur repose sur des hypothèses de rendement. Ce qui nous emmène à penser que cet indicateur tend à être subjectif et du fait non pertinent. L'épargne nette ajustée Calculé à partir de l'épargne national brut moins les consommation de capital fixe plus les investissements en capital humain et déduit de la baisse des stocks des ressources naturelles consommées, il porte sur la consommation. [...]
[...] Enfin mettre l'accent sur la perspective des ménages. Conclusion: Plusieurs indicateurs se battent pour remplacer le PIB. Cependant, il faut noter qu'il en existe de très intéressant mais qu'il reste des améliorations à réaliser dans le domaine. Prendre en compte les 3 sphères de développement durable est l'une des solutions proposées. De plus, on remarque que de plus en plus d'entreprises et collectivités locales créent leur propre indicateur pour mesurer l'impact de leur stratégie vis à vis de l'environnement et socialement. [...]
[...] D'autre part, la plupart des indicateurs n'ont pas consulté l'avis de l'opinion publique. Or, ce sont les premiers concernés mais également si un changement majeur doit se faire, il se réalisera pas sans une forte sensibilisation de l'opinion publique En regardant de plus près, on remarque que plusieurs critères ne tiennent compte que deux des trois principes du développement durable, le social étant relayé au second plan. De plus, l'application de ces indicateurs nécessite une concertation internationale ainsi qu'une reconnaissance par l'ensemble des pays pour qu'ils soient pertinents et comparable. [...]
[...] Si l'indicateur est négatif il signifie un déclin de la richesse de la richesse mondial. Ce qu'il faut retenir c'est que le cycle de production entre pays riches et pays en voie de développement diffèrent ce qui remet en cause cet indicateur, même si toutefois il convient bien aux pays riches pour leur comparaison. Enfin l'indice de bien être économique selon Osberg et Sharp. Indicateur social, calculé à partir de 15 variables selon AE il nous présente que l'augmentation du PIB par habitant n'est pas synonyme de bien être économique. [...]
[...] En France, la remise en cause du PIB a fait l'objet d'une commission nommée commission Stiglitz, l'objectif étant d'améliorer la mesure de la performance économique et du progrès social. Depuis, de nouveaux et nombreux indicateurs de développement humain durable ont vu le jour. Face à cette multitude d'indicateurs se cachent des incompatibilités. Ce qui revient à nous poser la problématique suivante: En quoi le PIB et ses indicateurs alternatifs ont besoin d'être revu ? Pour cela il convient de présenter le PIB et ses indicateurs alternatifs; puis de vous en proposer quelques uns. [...]
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