On appelle la « grande expansion » la période 1945-1973.
Les industries technologiquement mûres représentent une proportion croissante de la production économique totale.
L'économie américaine est la première à mettre à son actif, en pleine guerre, les forts gains de productivité, allant de pair avec un haut régime d'activité et d'emploi, qui demeureront les caractéristiques majeures de la croissance d'après-guerre.
- rapidité de la reconstruction de l'après-guerre ==> miracle économique,
- croissance soutenue jusqu'en 1970,
- Etats-Unis = économie toujours dominante,
- Après la guerre le monde est entré dans l'ère de la croissance économique,
- Objectif clé : taux de croissance du PNB,
- Mais 1962-1968 = « première phase » de fléchissement de la croissance au XX°.
[...] - Besoin d'un effort intense de formation de capital à cause de l'industrialisation. - Taux d'épargne des ménages = 20% - Taux d'investissement = 30% du PIB en 1960 et 35% en 1970 - La rapidité de la croissance japonaise repose sur trois faits essentiels : - Un dualisme économique original, associant des sociétés puissantes contrôlées par les zaîbatsus à un secteur satellite de petites entreprises. - Des comportements sociaux conservant l'empreinte du passé - Une osmose entre l'action des pouvoirs publics et celle des milieux dirigeants industriels et financiers. [...]
[...] - 1949 : une libéralisation des échanges est mise en place. - Les anglais se tiennent à l'écart car ils rejettent une Europe supranationale mais ne s'opposent pas à l'organisation des pays du continent. - Années 1950, situation française très mauvaise : - Lourde charge des guerres coloniales d'Indochine (jusqu'en 1954) , et d'Algérie (1954-1962) . - déficits publics massifs. - dépendance des exportations à l'égard de débouchés coloniaux artificiellement protégés. ( tous les déséquilibres possibles et subit des poussées d'inflation sans équivalent et des déficits extérieurs récurrents. [...]
[...] - Etat = maître d'œuvre de la Reconstruction, fixe sans ambiguïtés les priorités. - Plan Monnet (1946) ( modernisation et d'équipement ( Remise en état des transports, desserrement des pénuries (charbon), investissements de modernisation et de développement des secteurs de base- acier, raffinage de pétrole, machines agricoles. - nationalisations dans le secteur de la banque et des assurances, des transports (Air France) et de l'énergie (EDF). - Investissement public ( levier décisif de la modernisation. - L'aide américaine contribue de façon décisive au financement public des investissements français. [...]
[...] - la politique monétaire : Faire baisser les taux d'intérêt à long terme pour relancer l'investissement intérieur et éviter les sorties de capitaux susceptibles de mettre en danger le - 1962 : volonté de s'engager dans le libre-échange par Kennedy ( réduction sensible du protectionnisme américain 2. Déséquilibre extérieur, inflation et désarroi des politiques économiques américaines - 1945 : le $ bénéficie d'une prééminence de droit et de fait sur ttes les autres monnaies. - Les Etats-Unis règlent en $ leurs déficits extérieurs et bénéficient d'un financement automatique. III. La montée des déséquilibres mondiaux II. A. [...]
[...] Il existe une certaine convergence tendancielle des comportements démographiques parmi les pays avancés. L'afflux des immigrants ne suffit pas cependant à assurer une forte croissance de la pop active. Les progrès de la scolarisation et le développement des systèmes des retraites tendent à raccourcir la durée de la vie active aux deux extrêmes et par conséquent à réduire le taux d'activité général L'amélioration des qualifications et les transferts intersectoriels de main-d'œuvre - après-guerre ( progression des niveaux moyens d'éducation et de formation. [...]
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