Les facteurs explicatifs de l’évolution des différences de PIB par habitant entre les pays du G7 depuis 1970

Résumé du document

Le PIB (produit intérieur brut) est un indicateur de mesure de la production ou de la richesse d'un pays. Réparti sur la population de ce même pays, il donne le pouvoir d'achat produit par habitant.
La détermination comptable de cet indicateur s'effectue par la sommation des valeurs ajoutées des produite par les agents économiques (ménages, entreprises, administrations).
L'objet de ce travail est d'étudier l'évolution du PIB dans les pays du G7.
Les pays du G7 étant le groupe de sept pays les plus développés du monde (USA, UK, Allemagne, France, Japon, Italie et le Canada), la connaissance de leur PIB permet aux pays émergents et aux pays dits en voie de développement de mesurer leurs efforts de croissance par rapport à ces pays du G7. Il est opportun d'indiquer que certains pays non développés pétroliers ou émergents ont des PIB par habitant de loin supérieur à la première puissance économique : les USA.

Extraits

[...] Ces derniers vont connaître une hausse du taux annuel moyen d'emploi sur la période 1980-1990. Par contre du côté des États-Unis, une baisse de ce taux est constatée. La durée du travail de 1970 à 2007 : La forme de la courbe représentative de la durée de travail en Italie se traduit par une absence d'informations jusqu'à 1980. En 1998, le pays apparaît en tête du classement. La durée de travail au Japon était très élevée par rapport aux autres pays du G7. [...]

[...] L'objet de ce travail est d'étudier l'évolution du PIB dans les pays du G7. Les pays du G7 étant le groupe de sept pays les plus développés du monde (USA, UK, Allemagne, France, Japon, Italie et le Canada), la connaissance de leur PIB permet aux pays émergents et aux pays dits en voie de développement de mesurer leurs efforts de croissance par rapport à ces pays du G7. Il est opportun d'indiquer que certains pays non développés pétroliers ou émergents ont des PIB par habitant de loin supérieurs à la première puissance économique : les USA. [...]

[...] Si le PIB prend en compte la production des services publics gratuits, il ne mesure pas la production domestique. Si la pêche en mer ou en océan est considérée comme excessive et cause l'épuisement des ressources en poissons, l'activité de pêcherie est positive pour le PIB mais tel qu'elle est pratiquée actuellement, elle est négative pour la collectivité. Il ne prend pas compte la richesse possédée par un pays mais que les valeurs ajoutées (ou suppléments d'enrichissement), de ce fait, la croissance du PIB ne signifie pas forcement le développement, car la croissance a des limites. [...]

[...] Le Canada occupe la dernière place avec un PIB maximal de 1269,6 milliards de dollars en 2007. L'évolution des différents ratios de décomposition du PIB Le facteur démographique: Ce ratio ne passe en effet qu'en deuxième lieu, car après la baisse du baby- boom, le taux de fécondité en France a baissé à partir des années 90. Il serait donc insignifiant de faire une comparaison par rapport aux États- Unis qui n'a pas connu la même ampleur du changement de sa démographique. [...]

[...] Le PIB n'a pas pour objectif de réduire la pollution, car il comptabilise la production qui a causé la pollution et celle qui se charge de la dépollution et de ce fait le résultat de son intervention est toujours nul. Enfin, le produit intérieur brut comptabilise aussi ce qui est bénéfique pour la société et ce qui pourrait peut être néfaste (exemple: industries polluantes) ainsi que ce qui est même inutile. 2-Les critiques: Les critiques du PIB se font sur la base des déséquilibres et des contradictions qui naissent de la croissance économique. Le PIB/habitant est considéré comme un indicateur imparfait de la mesure de la croissance économique. [...]