Développement structuré de trois pages et qui répond à la question : Comment l'entreprise peut-elle concilier la fonction économique et la fonction sociale et être compétitive face à la concurrence mondiale ? Nous allons ainsi évoquer d'une part le côté positif du social dans l'entreprise et d'autre part, nous nous pencherons sur les effets négatifs du coût social dans l'entreprise.
[...] Nous voyons apparaître le dumping social, pratique consistant à baisser le coût du travail, notamment le salire ou à menacer le personnel de délocalisations pour obtenir des blocages ou des réductions de salaires afin de rester compétitifs. Les entreprises agissent sous la contrainte extérieure, non pas en fonction de choix internes, mais en fonction de la situation des autres pays. Les délocalisations sont les conséquences de la libre entreprise et un moyen pour les industriels de faire fabriquer au moindre coût et vendre dans les pays au fort pouvoir d'achat. Il s'ensuit donc une concurrence déloyale vis-à-vis des pays qui ont établi des protections sociales. [...]
[...] Mais les enjeux stratégiques ont changé, l'entreprise ne doit plus seulement produire, elle doit vendre. La recherche du moindre coût n'est plus le seul paramètre au moment où la qualité totale devient l'enjeu d'un client roi. La motivation du personnel devient alors une nécessité, non seulement sociale, mais aussi économique, il faut donc que chacun développe ses compétences. Le social : moteur de la compétitivité : L'action des syndicats, la création des comités d'entreprises prennent des décisions en matière sociale. [...]
[...] Développement structuré : L'entreprise peut-elle concilier la fonction économique et la fonction sociale ? Les objectifs de l'entreprise des années 30 étaient des objectifs essentiellement économiques. Les motivations des travailleurs reposaient sur des motivations pécuniaires. Dans l'entreprise Taylorienne, l'homme est un simple facteur de production et subit la division absolue des tâches. Aujourd'hui, les principaux objectifs économiques de l'entreprise sont la survie, la rentabilité, la conquête de marchés, le monopole, le profit. Cependant, sous l'influence des mentalités, du syndicalisme, des découvertes en ressources humaines, des critères non-économiques sont apparus. [...]
[...] En quoi la conciliation entre l'économique et le social peut-elle s'avérer positive pour la productivité ? Stratégie mises en œuvre pour améliorer la productivité : Qu'est-ce que la productivité ? C'est le rapport entre la quantité produite et les facteurs de production correspondants au capital et au travail utilisés pour l'obtenir. Les éléments principaux de l'organisation qui influencent la productivité sont : la compétence des managers, la motivation et la qualification du personnel, l'influence des groupes et la culture d'entreprise, la qualité de l'information et la communication. [...]
[...] Mais nous misons sur la motivation des individus pour gagner des gains de productivité sur le long terme. Il ne faut pas sous-estimer le rôle législateur du profit dans l'économie mais cela ne devait pas empêcher de soumettre l'activité économique à des fins plus humanistes. Il faut espérer une harmonisation des politiques économiques humanistes. Pour le futur, il s'amorce une nouvelle conception de développement avec la protection de l'environnement de façon qu'une croissance soutenue soit compatible avec la gestion prudente des ressources naturelles dans le respect des générations actuelles et futures. [...]
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