A l'heure actuelle, un gros problème se pose dans les relations économiques internationales : c'est la confusion entre plusieurs zones de l'économie, ce que les spécialistes appellent la zone blanche (économie légale), la zone grise (correspond à la corruption) et la zone noire (liée à l'économie criminelle). Ceux qui en ont profité sont les chefs de gouvernement, les organisations criminelles, riches particuliers ... Les spécialistes distinguent 2 types de criminalité ...
[...] Albanie est devenue une zone de non droit, depuis la chute du mur de Berlin. Différents trafics se sont développés à très grande échelle : - trafic de clandestins : + de 3 millions installés dans les 15 de l'UE, qui ont payé entre et dollars pour leur passage - trafic d'armes (pillage des casernes albanaise et ils ont fourni en arme la mafia italienne. - trafic de femmes : trafic très violent, femmes attirées dans ces réseaux par de fausses promesses de mariages, ou enlèvement de forces de jeunes filles dans les collèges. [...]
[...] Après la chute du mur, et la disparition de l'URSS écoles américaines se sont opposées sur l'évolution de la Russie : l'une insiste sur la nécessité de mettre en place une infrastructure institutionnelle afin d'aider le bon fonctionnement du marché, l'autre est partisan d'une thérapie de choc : privatisation des secteurs les plus rentables de l'économies soviétique. Mais, cette privatisation ne s'est pas déroulée comme prévue. Pendant les réformes de la pop russe est passée en dessous du seuil de pauvreté, la dette extérieure s'est renforcée, et une partie de l'économie est passée aux mains des criminels. [...]
[...] La déréglementation financière et le développement des places offshore. Ceux qui en ont profité sont les chefs de gouvernement, les organisations criminelles, riches particuliers, Les spécialistes distinguent 2 types de criminalité : la criminalité organisée : elle se caractérise par sa capacité à terroriser, paralyser voire corrompre les appareils judiciaires et politiques des pays ; sa capacité à acquérir et à augmenter son capital financier de façon illicite la criminalité économique : elle ne dispose pas de tels pouvoirs, ses agents (entreprises, banques) ont acquis leur capital de la façon la plus légale possible, toutefois, si au cours de leurs affaires il existe une menace qui peut remettre en cause leurs profits, ils peuvent recourir à des moyens criminels. [...]
[...] 1er cas : la City Bank En Octobre 2000, 1à grandes banques internationales se dotent d'un code de bonne conduite, ce code on l'appelle les principes de Wolfsberg parmi les banques : City Group, Crédit Suisse, Deutsche Bank, Société Générale, Le contenu est approuvé par l'ONG. Pourtant, à l'issu des enquêtes menées sur les activités de ces banques, on a du mal à croire qu'elles mettront en pratique ces grands principes. City Bank : employés répartis dans une centaine de pays, gérait 700 milliards de dollar d'actifs, particulièrement investit dans une activité qui s'appelle le private banking secteur qui s'occupe de gens très riches. Avec ces grands comptes, les grandes banques vendent du secret et de la discrétion à ses clients. [...]
[...] La planète est devenue un terrain où se concurrencent les firmes et les territoires. Dans nos pays, des couches de population sont de + en + vulnérables, et sont récupérés par des organisations criminelles par l'appât de l'argent (recrutement par gangs interposés, fidélisation avec drogue, exploitation, prostitution), elles sont aussi recrutées par les sectes, des organisations religieuses extrémiste, organisations nationalistes, La misère et l'exclusion sont devenues de véritable marché à très haute valeur ajoutée. Conséquences : les sociétés sont fragilisées et l'éthique des affaires disparaît. [...]
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