Les firmes multinationales - publié le 03/10/2005

Résumé du document

On va s'intéresser aux quelques milliers de très grandes entreprises qui gouvernent les évolutions économiques de la planète. Ce sont des groupes industriels ou financiers qui sont déployés sur de multiples pays et qui doivent être distinguées des autres firmes en raison de leurs relations très étroites avec les marchés financiers, de leurs dimensions et de leurs pouvoirs.

Extraits

[...] Il peut y avoir simultanément des appels d'offre externe a tel point que certaines boite ne feront plus de production mais feront appel qu'a des sous-traitants. Pour emporter le marché, les directeurs d'usines vont faire du benchmarking (=processus de comparaisons systématique qui portent sur les méthodes de production, les délais, la qualité et les coûts.) C'est à ce niveau qu'intervient une nouvelle dimension : 2 types de benchmarking se sont développé, l'interne et l'externe qui s'apparente à la veille stratégique surtout dans l'intelligence économique, marché en pleine expansion. [...]

[...] Les FMN les plus puissante (top 100) se situe toujours dans les pays les plus riches. Pour les classer on a recours à 2 indicateurs : Le CA La capitalisation boursière : total de la valeur en bouse des actions émises par une entreprises. Elle se calcule en multipliant le nombre d'actions par leur valeur en Bourse à un moment donné. Elle est très importante car elle traduit l'opinion des acteurs du marché sur le volume des bénéfices qu'une entreprise peut faite à l'avenir. [...]

[...] Il va être remplacer par Hans Eichel : ce dernier recrute, comme Secrétaire d'Etat, le chef du service fiscal de Bayer. Aux USA, avec administration Bush, grandes entreprises sont directement représentées au Pentagone. De plus, le secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld a formé un Senior Executive Council de 7 membres. Cycle d'élection Ces entreprises ont beaucoup plus financé le candidat Bush raisons peuvent expliquer ce choix : Bush s'était engagé sur des programmes très profitables, il était sur Bush dépenserait plus que ce qu'il s'était engagé. [...]

[...] Boussole Elle indique la direction à suivre. Cet objectif de rentabilité est primordial : augmentation de la productivité (production la plus élevée par personne et par heure) et bisse des coûts. Ex : Toyota a réussi en 97 une voiture de luxe avec seulement 18h de contenu de travail. Le recors le plus récent serait à 15 h. Dans cette course à la productivité existe donc une concurrence féroce entre les constructeurs automobiles. Dans 10 ans il ne devrait rester que 5 ou 6 FMN dans ce secteur. [...]

[...] On rationalise aussi la production et on parvient à développer de nouvelles économies d'échelles car elles fabriquent en beaucoup plus grand nombre. Elle augmente la possibilité d'imposer des prix de ventes mais aussi de comprimer les tarifs des fournisseurs. Alcatel ou Carrefour jouent dans leur secteur un des premiers rôles grâce à ce procédé. Implantation ex-nihilo : investissement dont la croissance est modérée. Elle est utilisé dans les pays émergents ou les coûts de MO sont faibles et où le droit du travail est particulièrement limité. On créer une entreprise à partir de rien. [...]