Dans un pays développé tel que la France, la plupart des personnes âgées de plus de 30 ans sont assez bien intégrées dans la société. Ce sont maintenant des adultes expérimentés qui ont généralement un emploi.
Certains sont encore aux études tandis que d'autres commencent à créer leur famille. Le passage de transition entre jeunesse et monde actif est très souvent terminé. En revanche, il ne fait que commencer pour la génération suivante (...)
[...] En revanche, il ne fait que commencer pour la génération suivante. Les conditions d'insertion sociale et professionnelle des jeunes se dégradent-elles actuellement sans aucun contrôle de notre pays ? Nous tenterons de répondre à cette question en axant notre réflexion sur deux points. Nous traiterons, tout d'abord, en quoi il y a une dégradation. Puis, par la suite, nous en verrons les limites. I ) Une certaine dégradation de l'intégration des jeunes tant sur le plan social . Les conditions d'insertion des jeunes français dans la société ont empiré. [...]
[...] Ainsi, dans le secteur marchand, on distingue trois types de contrats. Le contrat d'apprentissage, les contrats d'insertion en alternance tels que les contrats de qualification, d'adaptation et d'orientation, et le contrat d'initiative emploi favorisent donc l'intégration du jeune dans la vie professionnelle. Nous remarquons donc que les jeunes détenant un baccalauréat professionnel sont prêts plus tôt à travailler que ceux ayant obtenu un baccalauréat général. Il faut alors que ces derniers continuent leurs études afin de se spécialiser dans un métier. [...]
[...] Ils ont peur d'être exclus du marché du travail parce qu'ils sont sans parchemin Le nombre de stagiaires, d'apprentis ne bouge guère tandis que les emplois à durée indéterminée sont remplacés par des contrats à durée déterminée. Précaires, instables, ces emplois ne changent rien à la diminution des emplois au sens strict. En mars des jeunes de 16 à 25 ans avait un emploi (au sens strict) contre seulement en mars 1987. Le chômage ; état de personnes sans emploi, disponibles pour travailler et recherchant effectivement un emploi ; ne cesse portant de prendre de l'ampleur. Il touche davantage les femmes que les hommes. [...]
[...] De des jeunes de 16 à 25 ans TUC et SIVP en mars 1983, on en compte beaucoup plus en mars 1987 : 6,7%. Conclusion Les conditions d'insertion sociale et professionnelle des jeunes empirent actuellement. Cependant, des mesures sont prises, notamment par l'Etat, afin de limiter cette dégradation. Grâce à elles, de nombreux inactifs et personnes sans emploi ont pu créer des liens avec la population. Les autres chômeurs n'ont qu'à attendre la retraite de la génération du baby-boom de l'après guerre (1945-1963) qui ne saurait tarder. [...]
[...] Qu'ils soient illettrés, aveugles, sans logement tous désirent un soutien pour pouvoir créer des liens avec la population. D'autres jeunes ont, eux, un revenu insuffisant pour subvenir à leurs besoins. Parfois, leur salaire net annuel ainsi que leur pouvoir d'achat ont baissé. Néanmoins, la mise en place du Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance (S.M.I.C.) en 1968 et du Revenu Minimum d'Insertion (R.M.I.) en 1989 doivent permettre aux individus d'acquérir les biens et services nécessaires à leur vie. D'autre part, les jeunes bénéficient, des fois, d'aides. Avant leur insertion professionnelle amenant à un revenu, ils auront étudié. [...]
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