Nous sommes actuellement dans un environnement économique mondialisé, voir globalisé. Les échanges internationaux de biens et de capitaux sont au centre de ce phénomène. Cette situation contemporaine est apparue en réponse à un modèle qui était en saturation. En effet, le système de consommation de masse ne répondait plus aux besoins des consommateurs. Ce fut la fin du modèle fordiste. Pour palier à ce manque, le nouveau modèle a pu s'appuyer sur de nombreuses règles récentes qui ont favorisé sa rapide expansion. Celui-ci a entrainé avec lui des modifications importantes dans les relations entres les entreprises et aussi à l'intérieur des firmes (...)
[...] Avec ces conditions, la taille de l'entreprise va grandir et elle va devoir faire appel à de nouveaux capitaux et aura recours à des managers spécialistes de la gestion et des décisions stratégiques dans les grandes firmes. Cela va entrainer la naissance du capitalisme managérial. Durant cette période, on assiste à la multiplication des managers et à leur importance croissante dans l'entreprise. Galbraith parlera de technostructure. C'est-à- dire que les actionnaires sont trop dispersés et non pas assez de pouvoir pour diriger. Ce sont donc les managers qui décident. Ils vont choisir la croissance de l'entreprise, la pérennité de celle-ci et n'ont pas à l'esprit la maximisation de la valeur actionnariale. [...]
[...] Cette situation contemporaine est apparue en réponse à un modèle qui était en saturation. En effet, le système de consommation de masse ne répondait plus aux besoins des consommateurs. Ce fut la fin du modèle fordiste. Pour palier à ce manque, le nouveau modèle a pu s'appuyer sur de nombreuses règles récentes qui ont favorisé sa rapide expansion. Celui-ci a entrainé avec lui des modifications importantes dans les relations entres les entreprises et aussi à l'intérieur des firmes. Nous pouvons donc nous demander quelles ont été les causes du changement d'environnement économique, à partir des années 1970 et quel est le modèle qui en a résulté ? [...]
[...] En conclusion, le modèle du capitalisme financier actuelle a été le fruit de deux facteurs. Premièrement la saturation du mode fordiste. Deuxièmement, l'apparition de règles, de technologies et d'organisation qui ont fait que nous sommes entrés dans un nouvel environnement économique mondialisé. Ce système a modifié les relations entre les entreprises et aussi à l'intérieur de celle-ci. Cependant on peut se demander si ce système capitaliste basé sur la rentabilité et le profit va pouvoir durer étant donné la place de plus en plus importante de l'environnement et du domaine social dans l'esprit des citoyens, des institutions et aussi des entreprises ! [...]
[...] Tous ses facteurs ont engendré l'émergence de la mondialisation mais ont aussi eu des conséquences sur le système de capitalisme. Le capitalisme en place a subi des mutations afin de répondre aux besoins dynamiques du marché. II) Le dynamisme des capitalismes Un système capitaliste repose sur quatre idées essentielles : - La propriété privée des moyens de production - L'accumulation de capital engendré par le profit - Un marché ayant une place centrale - La rémunération du travail sous forme de salaire Le premier système capitaliste à s'être implanté dans les pays développés est le capitalisme familial. [...]
[...] En réponse à ce problème, les actionnaires ont accepté de perdre leur pouvoir, en contrepartie d'une plus grande liquidité des actions. Cependant à partir des années avec les effets de la mondialisation, le modèle capitaliste a évolué. Afin de s'adapter aux besoins du marché, un modèle de capitalisme est apparu. Le capitalisme financier. Dans ce capitalisme, l'actionnaire retrouve sa place. La logique de rentabilité à cours terme remplace les visions long terme des managers. Jensen et Meckling énonce une théorie qui montre bien que l'actionnaire a réussi à retrouver son pouvoir de contrôle et de décisions. [...]
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