Dans le système capitaliste, les entreprises sont à la recherche d'une meilleure efficacité de leurs travailleurs, c'est-à-dire, qu'elles veulent obtenir une production plus importante de ces derniers, sans pour autant augmenter la quantité de travail. Elles favorisent donc l'accroissement de la productivité du travail, qui correspond au rapport entre la quantité produite et la quantité de travail employée. On peut donc se demander quelles sont les sources de cette productivité du travail, et les conséquences de celle-ci sur la croissance. Nous expliquerons dans un premier temps l'origine de la productivité. Puis nous nous intéresserons à ses effets sur la croissance. Notre étude portera sur L'Europe de l'ouest et les Etats-Unis depuis les années 1980.
La productivité du travail trouve ses sources dans une meilleure qualification des salariés, le progrès technique, la division du travail, et également dans la cohésion sociale (...)
[...] Cette division du travail passe également par une mécanisation, donc beaucoup d'hommes sont remplacés par des machines, et cela crée du chômage à court terme. Pour conclure, nous avons expliqué que la qualification du travail, le progrès technique, et la division du travail sont à l'origine de la productivité du travail. Cette productivité du travail peut à la fois être positive pour la croissance économique d'un pays, mais également être nuisible, car parfois destructrice d'emploi. Mais la croissance peut-elle se satisfaire uniquement de la productivité du travail ? [...]
[...] Or depuis que les frontières technologiques ont été repoussées, on constate un phénomène de rattrapage de la productivité, par les pays développés d'Europe. On voit donc que la productivité des travailleurs s'accroît lorsqu'ils disposent d'un capital technique plus important et de meilleure qualité. Le progrès technique est donc une source de la productivité. D'autre part, cette utilisation du progrès technique n'est possible que grâce à l'utilisation d'une main d'œuvre qualifiée. Ce progrès technique serait inutile si les travailleurs ne savaient pas l'utiliser. [...]
[...] Puis nous nous intéresserons à ses effets sur la croissance. Notre étude portera sur L'Europe de l'ouest et les Etats-Unis depuis les années 1980. La productivité du travail trouve ses sources dans une meilleure qualification des salariés, le progrès technique, la division du travail, et également dans la cohésion sociale. Tout d'abord, le progrès technique est un des composants primordial pour la productivité travail. Ce progrès technique correspond à l'ensemble des innovations qui vont instaurer de nouvelles combinaisons productives et qui vont de surcroit accroitre les facteurs de production. [...]
[...] Ce n'est pas anodin de remarquer que ce sont également les Etats- Unis qui avaient la meilleure avance technologique. Il existe donc un lien entre qualification et progrès technique. Une main d'œuvre plus qualifiée pourra produire des biens d'une meilleure qualité et utiliser de meilleures machines. Par ailleurs, le progrès technique est également à l'origine de nouveaux procédés de production tels que la division du travail. Ce procédé production correspond à la division du processus de production en différentes tâches élémentaires ou partielles, qui s'accompagne d'une spécialisation lorsque ces tâches sont données aux mêmes personnes. [...]
[...] Grâce à cette productivité du travail, les hommes pourront produire plus sans pour autant augmenter leur temps de travail. Cette productivité du travail a des effets positifs sur la croissance, mais peut avoir également des effets néfastes. Dans un premier temps, la productivité du travail a des effets positifs sur la croissance. On emploie d'ailleurs le terme de croissance intensive, ce qui désigne l'augmentation de la production à volume de facteurs de productions identiques, et ce, grâce à des gains de productivité. [...]
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