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La croissance économique correspond à l'accroissement des richesses. Elle comprend donc l'ensemble des biens et des services nouveaux créés.
La croissance économique est un processus qui dynamise la conjoncture économique par ses multiples effets. Elle se mesure par le taux de variation de Produit intérieur(e) brut(e), c'est-à-dire par l'écart relatif entre le PIB d'une année et celui de l'année précédente.
[...] SES : La Croissance, un processus complexe. Une dynamique difficilement contournable : A. Un processus spécifique La croissance économique correspond à l'accroissement des richesses. Elle comprend donc l'ensemble des biens et des services nouveaux créés. La croissance économique est un processus qui dynamise la conjoncture économique par ses multiples effets. Elle se mesure par le taux de variation de Produit intérieur(e) brut(e), c'est-à-dire par l'écart relatif entre le PIB d'une année et celui de l'année précédente. [...]
[...] Un processus au cœur de multiples débats : A. Croissance extensive et croissance intensive On parle de croissance extensive, lorsque l'on utilise plus de facteurs de production, c'est-à-dire plus de capital et/ou plus de main d'œuvre. On parle de croissance intensive, lorsque l'on s'intéresse aux aspects qualitatifs, c'est-à-dire à l'efficacité productive : l(attention porte alors sur les gains de productivité issus d'une utilisation plus intensive au travail, sur une meilleure organisation, une gestion plus rationnelle L'impact fort du progrès technique sur la croissance fait consensus, mais il est difficile d'en mesurer directement le poids, comme l'ont montré Carré, Dubois et Malinvaud : s'il est possible de chiffrer l'effet de plus de capital ou de travail, c'est par déduction que les pourcentages de croissance qui restent à expliquer sont attribués au progrès technique ; il correspond donc à un résidu de la croissance B. [...]
[...] Les différents agents économiques déclarent ainsi chaque année au Fisc le produit de leurs activités. B. Un objectif devenu central Les grands partis traditionnels et les pouvoirs exécutifs des différentes nations occidentales, soutenues par les grandes institutions internationales (OCDE, FMI, BM ) qui observent les mesures et réformes nationales, s'accordent pour faire de la croissance économique l'un des objectifs majeurs des politiques à mener. Il faut dire que les efforts réalisés dans les années 1950-1960 pour reconstruire la nation française, qui se sont soldés par des taux de croissance exceptionnels dans le cadre de ce que Jean Fourastié a appelé « les Trente Glorieuse », ont créé dans l'esprit français un « traumatisme » positif dont on ne se remet pas aujourd'hui en incitant à rechercher toujours plus de richesses. [...]
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