croissance, mutations sociales, 1850, mondialisation, souci d'intégration des espaces français, perte d'influence de l'industrie française
Depuis 1850, les différentes phases de la croissance économique ont de grandes répercussions sur les mutations sociales de notre société. Tout d'abord la première révolution industrielle, qui avec la mécanisation de la société permet le développement économique de l'Europe, puis après la Seconde Guerre mondiale, il y a eu une grande période de croissance, « les Trente glorieuses ». Aujourd'hui, nous sommes dans la mondialisation, sorte de troisième révolution industrielle, notamment avec la croissance fulgurante du marché des nouvelles technologies. La première révolution industrielle commence vers le milieu du 19e siècle, elle permet le développement économique de l'Europe par le libre échange, la suppression des taxes douanières et des contrôles moins stricts facilitant les exportations et les importations entre les différents pays d'Europe. Mais la croissance économique européenne passe également par le développement de l'exploitation des énergies fossiles (la sidérurgie en Allemagne, les activités minières au Royaume-Uni ou dans le nord de la France...), par l'exploitation des ressources de colonies européennes présentes à l'époque un peu partout dans le monde, apportant des matières premières à faibles coûts et de la main-d'oeuvre bon marché.
[...] Dissertation : La croissance et les mutations sociales depuis 1850. Depuis 1850, les différentes phases de la croissance économique ont de grandes répercussions sur les mutations sociales de notre société. Tout d'abord la première révolution industrielle, qui avec la mécanisation de la société permet le développement économique de l'Europe, puis après la Seconde Guerre mondiale, il y a eu une grande période de croissance, les Trente glorieuses Aujourd'hui, nous sommes dans la mondialisation, sorte de troisième révolution industrielle, notamment avec la croissance fulgurante du marché des nouvelles technologies. [...]
[...] C'est cette même part de la population qui en mai 1968, manifestera contre le système éducatif, les ouvriers se joindront même à eux et finiront par obtenir une revalorisation de leur droit avec les accords de Grenelles. Malgré leur diversité, les ouvriers développent une culture commune et forme un trope à part, sentiment accentué par la lutte des classes et par les idées communistes, socialistes ou encore l'idéologie marxiste, donc une besoin satisfait uniquement par le partage des ressources, des richesses. Les droits des ouvriers sont bien défendu par les syndicats qui grandissent en cette période (autorisation de syndicats en 1984). [...]
[...] Mais cela n'est pas sans problèmes, puisque cela créé du chômage dans les pays industrialisés, il y a une précarisation de l'emploi, ce qui entraîne un certain nombre de conséquences sociales et humaines. Mais maintenant, en France, il y a l'état providence, donc l'état régule les bénéfices économiques en finançant dans le sociale et le sanitaire comme avec la création de l sécurité sociale en 1945 en France. Les français bénéficient d'aide et d'assurance, pour les accident, la maladie, le chômage te la retraite. [...]
[...] Le travail des enfants diminue, grâce aux lois Ferry de 1882, rendant l'école obligatoire et gratuite dans le but d'instruire la population. Le droit au travail et des législation sociales voient le jour à la fin du 19e siècle sous la pression des mouvements sociaux, grandissant avec le développement des usines et donc le nombre d'ouvriers. Cette première révolution industrielle prend fin lors du krach boursier de Wall Street en 1929, cependant elle avait auparavant connue une crise majeure, la grande dépression qui a sévi de 1873 à 1896. [...]
[...] Ce fut une très grande période de croissance économique, avec un taux annuel de croissance de 5%. L'électricité, la chimie et les premiers usages du pétrole assurent la croissance des pays industrialisés, il y a aussi l'essor automobile (Renault en France et Ford aux États-Unis) dû aux nouveaux moyens de production qui suivent le modèle du fordisme et du taylorisme, développé pendant la première révolution industrielle, c'est-à-dire travail à la chaîne et production de masse, ce qui va augmenter les exportations et doper le commerce mondial. [...]
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