Le capitalisme est un système économique et social. Les principales caractéristiques sont la propriété privée des moyens de production, la recherche du profit, le libre-échange, la concurrence économique, l'importance du capital et la possibilité de l'échanger, ainsi que la spéculation de ces capitaux. On peut constater que dans l'histoire, ce système économique a subi plusieurs crises d'envergure. Avec la crise actuelle, on est amené à se demander si les crises sont inscrites dans la dynamique du capitalisme (...)
[...] A ce stade, dans un scénario classique de crise de cette ampleur, si ces différentes interventions n'avaient pas eu lieu, l'Epargne se serait effondrée, un tiers des actifs aurait perdu leur emploi et l'économie serait anéantie. On peut aussi constater que c'est la première fois dans l'histoire économique que, forts des connaissances acquises par les sciences économiques durant ces cinquante dernières années, les gouvernements interviennent dans une crise de façon aussi rapide, déterminée et cohérente. De plus, on peut constater que pour sortir d'une période de crise les industries doivent innover pour se relancer économiquement. On voit ainsi apparaitre de nouvelles technologies, de nouveaux produits, ainsi que de nouvelles formes de travail. [...]
[...] Nous pouvons donc considérer une période de crise comme un moment de retournement de la conjoncture économique, le temps du passage d'une période d'expansion assez soutenue à celui d'une phase de dépression ou de contraction, au cours de laquelle finissent par se mettre en place les conditions de la reprise. Ce processus de crise apparait comme un temps de fluctuation économique dont la répétition périodique est assez remarquable. On peut donc décrire la crise comme moment de cycles économiques. Cependant, certains auteurs comme Mitchell, préfèrent l'idée de succession d'ondes économiques évoquant davantage l'idée de récurrence. On peut aussi remarquer que les périodes de crises comportent certains aspects positifs. [...]
[...] La crise impliquant une baisse des investissements, cela se répercute sur l'aide dédiée aux pays en difficulté. En conclusion de cette étude, on peut remarquer que les crises sont rendues possibles par le fait que l'économie capitaliste est une économie d'échange, ou production et consommation sont disjoints .En effet, le capitalisme entraine des phénomènes de sous consommation ouvrière et de surproduction capitaliste, ce qui entraine une crise. De plus, les crises sont nécessaires à l'évolution des systèmes économiques et politiques et améliorent la réactivité des gouvernements face aux futures crises et diminuent ainsi leurs effets. [...]
[...] Cependant, les crises possèdent aussi et surtout des aspects négatifs. En effet, par définition une crise est une période de ralentissement économique, de stagnation ou encore de récession. Cela se traduit concrètement par une forte hausse du chômage, une baisse de l'épargne et la difficulté d'emprunt pour les ménages et la faillite en chaine d'une multitude d'entreprises et des tensions sociales. Les consommateurs ne peuvent plus acheter ni maisons, ni voitures, ni biens de consommation durables car ils ne peuvent plus contracter de crédits. [...]
[...] Dissertation : Les crises sont-elles inscrites dans la dynamique du capitalisme ? Le capitalisme est un système économique et social. Les principales caractéristiques sont la propriété privée des moyens de production, la recherche du profit, le libre-échange, la concurrence économique, l'importance du capital et la possibilité de l'échanger, ainsi que la spéculation de ces capitaux. On peut constater que dans l'histoire, ce système économique a subi plusieurs crises d'envergure. Avec la crise actuelle, on est amené à se demander si les crises sont inscrites dans la dynamique du capitalisme. [...]
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