Le marché de l'immobilier a connu une période fastueuse qui a duré environ 10 ans, de 1997 à 2007. Les prix aussi bien dans l'ancien que le neuf ont considérablement augmenté aussi bien en Ile-de-France qu'en régions ; mais depuis 2007, un ralentissement se fait ressentir.
Durant la période 1998/2001, le marché immobilier a évolué dans la limite basse du Tunnel de Friggit (historique de l'indice des prix immobiliers français et montant des transactions - 1965/2009). Finalement, une croissance explosive des prix s'est produite à partir de 2002, cette fois-ci sur l'ensemble du territoire français.
Durant cette période, les promoteurs ont profité de la mise en oeuvre d'un mécanisme original, celui de la vente en étant futur d'achèvement ou communément appelé « vente sur plans ». ce mécanisme consiste à ce que le promoteur recueille des décisions d'achats sur des logements qui ne sont pas construits. Le permis de construire ou le terrain ne sont pas nécessaires. D'un point de vue économique, il ne s'agit pas de stock mais d'une offre.
Également au cours de cette période, les établissements bancaires ne se montraient pas aussi « frileux » pour prêter aux ménages qui souhaitaient acquérir un logement. Le prêt à taux zéro, durant des années a permis l'émergence de nouveaux lotissements résidentiels aux périphéries des grandes, moyennes et petites agglomérations. Par exemple en 2002, on comptait 25000 mises en chantiers de logements résidentiels par mois et ces chiffres étaient constants depuis 3 ans. Ces chiffres prouvaient bien la confiance des ménages et des établissements bancaires dans le marché de l'immobilier.
Durant cette même période, des éléments nouveaux permettent une relance de la consommation des ménages qui aura plus ou moins à long terme une incidence sur le marché de l'immobilier. Par exemple, la hausse du pouvoir d'achat, une baisse des impôts, la prime à l'emploi (...)
[...] Ces chiffres prouvaient bien la confiance des ménages et des établissements bancaires dans le marché de l'immobilier. Durant cette même période, des éléments nouveaux permettent une relance de la consommation des ménages qui aura plus ou moins à long terme une incidence sur le marché de l'immobilier. Par exemple, la hausse du pouvoir d'achat, une baisse des impôts, la prime à l'emploi. Malgré tous ces éléments positifs pour le marché de l'immobilier, l'année 2007 allait marquer le début de la crise pour ce marché auparavant si florissant. [...]
[...] Le marché de la location, a d'ailleurs mieux résisté à la crise que celui de l'acquisition. Le Pass Foncier est aussi un puissant élément du plan de relance. En effet les subventions obtenues ont permettent au primo-accédant de concrétiser leur achat plus sereinement. Il est même indiqué à ces personnes que la période actuelle est la plus propice à l'acquisition. De plus, si le ménage obtient un prêt Pass pour acquérir un logement, il peut bénéficier de l'APL (Aide Personnalisée au Logement), ce qui est loin d'être négligeable. [...]
[...] Le marché de l'immobilier a connu une période fastueuse qui a duré environ 10 ans, de 1997 à 2007. Les prix aussi bien dans l'ancien que le neuf ont considérablement augmenté aussi bien en Ile-de-France qu'en régions; mais depuis 2007, un ralentissement se fait ressentir. Durant la période 1998/2001, le marché immobilier a évolué dans la limite basse du Tunnel de Friggit (historique de l'indice des prix immobiliers français et montant des transactions 1965/2009). Finalement, une croissance explosive des prix s'est produite à partir de 2002, cette fois- ci sur l'ensemble du territoire français. [...]
[...] La baisse des prix quant à elle a été relativement minime contrairement à ce qui avait été annoncé. L'indice INSEE, au 4ème trimestre 2008 conclut à une baisse de pour les appartements et de 4ù pour les maisons. En général, au 4ème trimestre 2008, on notait une baisse de à Paris), soit sur l'ensemble du territoire et de l'année selon Century 21. Dès le mois de mai 2008, certains instituts d'analyses prévoyaient déjà un réajustement des prix en France de d'ici 2010. [...]
[...] Nous avons pu le constater, le marché de l'immobilier a subi de plein fouet la crise économique de 2008. Cette année 2008 a été une sombre année pour le secteur de l'immobilier auparavant si florissant. Quel sera le visage de ce secteur à court terme? L'avenir proche du marché de l'immobilier. Après un arrêt sans précédent en 2008 du nombre des transactions, les mesures d'aides mises en place par les pouvoirs publics ainsi que la baisse des taux d'intérêts des emprunts immobiliers ont permis au marché résidentiel neuf ou ancien de devenir convalescent en 2009. [...]
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