Cours d'économie sur le thème de la monnaie. Dans son sens usuel, la monnaie se définit comme un moyen d'échange. Elle regroupe en fait trois fonctions : elle est un instrument de paiement, elle est aussi un moyen de réserve par le biais de l'épargne et elle sert aussi comme unité de compte c'est-à-dire qu'elle permet de mesurer la valeur d'un bien.
[...] Malgré cela on voir certaines limites à l'action positive des dépôts sur la croissance. Tous d'abord, même si les banques vont être en capacité d'accorder des crédits grâce a ces entrées d'argent, il va ce poser deux problème, le premier est que elles sont limité en création par les banques centrales. Le second est que de nos jours, on est passé d'un financement intermédié par le biais des banques à un financement de plus en plus désintermédié. Cela signifie que les entreprises on de plus en plus recourt aux marchés financier pour trouver les capitaux nécessaire pour investir. [...]
[...] Les crédits font-ils les dépôts ? Introduction. Dans son sens usuel la monnaie ce définit comme un moyen d'échange. Elle regroupe en fait trois fonctions : elle est un instrument de payement, elle est aussi un moyen de réserve par le biais de l'épargne et elle sert aussi comme unité de compte c'est-à-dire qu'elle permet de mesurer la valeur d'un bien. Aux fils des siècles, la monnaie a circulé sous diverses formes pour arriver aujourd'hui à une monnaie divisée en trois types, divisionnaire, fiduciaire et scripturale. [...]
[...] Mais, la création monétaire est aujourd'hui limitée par la banque centrale européenne et elle peut aussi entraîner une forte inflation néfaste à la croissance et au commerce extérieur. Pour ce qui est des dépôts, ils vont fournir aux banques les moyen d'émettre des crédits, et ils vont permettre aussi aux entreprise de ce créer une réserve suffisante afin d'investir. Mais ces effets sont limités du fait que les banques commerciales sont limitées par la banque centrale et que si l'avenir est incertain l'épargne ne sera pas réinvestie. [...]
[...] En effet, depuis la mise en place du traité de Maastricht et l'entrée en vigueur de la monnaie unique, les douze pays de la zone Euro ne peuvent plus d'une par créer de la monnaie supplémentaire et d'autre par jouer sur les taux d'intérêt puisque cella est désormais de la compétence de la banque central européenne. De ce fait, les outils Keynésien de soutient et de relance de la croissance ne peuvent plus être appliqué. Après avoir vu les effets et limites des crédits sur la croissance économique, nous allons voir les effets et limites des dépôts. [...]
[...] Mais ce n'est pas le seul effet des crédits sur la croissance. Selon J.M Keynes l'Etat doit encourager les investissements par le biais de la baisse des taux d'intérêts. En effet, le fait de diminuer ces taux va entraîner une augmentation du recours aux crédits de la par des entreprises, qui vont ainsi investir d'avantage. Cella va permettre d'aller vers le plein emploi et va entraîner une augmentation de la demande des ménages. Or selon Keynes, la demande est le moteur de la croissance. [...]
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