1. Les différentes formes de consommation
2. Les déterminants de la consommation
<strong>B. L'épargne</strong>
1. Définition
2. Les motifs de l'épargne
<strong>C. La fonction de consommation</strong>
1. La fonction de consommation keynésienne
2. L'analyse de la consommation après Keynes
<strong>D. L'évolution de la consommation finale et de l'épargne</strong>
[...] - pour disposer de liquidités en vue de financer un bien dont le prix est supérieur à ses capacités de financement immédiates). - par précaution ; l'épargne permet de se protéger contre les risques potentiels de la vie (inflation, chômage, maladie, accidents, décès, vieillesse, etc.). - pour constituer ou accroître son patrimoine dans une optique de placement ou pour le transmettre aux héritiers. a. Les déterminants du comportement de l'épargnant à court terme. - Le revenu disponible. - L'inflation (et la désinflation). - Le taux d'intérêt. - Les anticipations des individus sur l'avenir. b. [...]
[...] Brown nomme ce phénomène de persistance des habitudes empêchant la baisse de la consommation, "l'effet de cliquet". Milton Friedman (prix Nobel d'économie 1976) a élaboré en 1956 une théorie se rapprochant des positions de Brown, en ce sens que pour lui, la consommation ne dépend pas du revenu actuel mais du "revenu permanent" qui est le revenu escompté par les ménages en fonction de leurs revenus passés et de leurs revenus futurs (revenus anticipés). Le "revenu permanent" dépend du patrimoine humain ou culturel (niveau de diplôme, compétences ) et du patrimoine matériel (revenus du travail, revenus issus des actifs mobiliers et immobiliers Pour Milton Friedman, le niveau de consommation dépend des anticipations des individus en matière de revenu mais également de prix ("anticipations adaptatives"). [...]
[...] Si une augmentation de revenu de (à prix inchangés) provoque un accroissement des achats de rouge à lèvres de l'élasticité-revenu de la consommation de rouge à lèvres est de 15 : 10 = 1,5. Michel Didier, Économie : les règles du jeu, Éd. Économica Document 4 : Reprise de la consommation en France en 2004. L'INSEE a terminé l'année en annonçant de bonnes nouvelles, du moins du côté de la consommation des ménages. Celle-ci est en nette reprise. Les informations de l'INSEE portent sur le mois de novembre (celles de décembre paraîtront fin janvier). En un mois, la consommation des ménages en produits manufacturés a grimpé de en volume (inflation déduite). [...]
[...] La consommation Les différentes formes de consommation. La consommation est l'utilisation de biens ou de services en vue de satisfaire des besoins. On distingue différentes formes de consommation : - La consommation finale est l'utilisation d'un bien ou d'un service par les ménages dans le but de satisfaire leurs besoins immédiats. - La consommation intermédiaire est la destruction ou la transformation de biens par les entreprises au cours du processus de production. - La consommation peut être individuelle ou collective selon que l'usage du bien ou du service par une personne exclut ou non les autres personnes du même usage en même temps. [...]
[...] L'évolution de la consommation finale et de l'épargne. Depuis 1960, la consommation finale des ménages ne fait qu'augmenter, mais cette progression s'est ralentie au début des années 1990, puis s'est de nouveau accélérée depuis 1998 ("effet coupe du monde" entre autres raisons). Cette évolution de la consommation est étroitement corrélée à celle du revenu, comme l'avait démontré Kuznets. Au cours des années 1970, le taux d'épargne des ménages français s'est maintenu à un niveau élevé entre 18 et du revenu disponible brut. [...]
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