En économie, l'intégration horizontale est le fait pour une entreprise d'étendre son réseau et sa main mise sur le marché en acquérant ou en
développant des activités économiques au même niveau de la chaîne de valeur de ses produits. Il s'agit donc pour une entreprise du secteur automobile qui nous intéresse, de racheter un concurrent afin d'étendre sa part de marché, d'être en position de force sur un marché spécifique (d'une gamme ou géographique) et donc de briser la concurrence en tentant d'éliminer une entreprise concurrente.
[...] Elle peut alors adopter un comportement stratégique, agir en tenant compte de leurs décisions en prévoyant la manière dont ils vont se comporter à la suite de ses actions. La présence d'une situation oligopolistique s'explique par la présence de barrières à l'entrée. Lorsque quelques entreprises sont présentes sur le marché, les barrières à l'entrée de différentes natures empêchent l'arrivée d'autres entreprises dans la branche. Dans le secteur automobile, on peut observer différentes barrières à l'entrée rendant l'entrée plus difficile pour une nouvelle firme Les barrières à l'entrée naturelles Il existe trois grands types de facteurs caractérisant les conditions d'entrée des firmes sur les marchés. [...]
[...] FIAT espère y produire véhicules de FIAT Automobiles mais aussi des bus et camions d'IVECO destinés à hauteur de 90% à l'Union Européenne et la Russie, et à seulement 10% pour le marché Serbe. Après l'Italie, le marché où FIAT tient une position dominante est le Brésil avec un taux de pénétration de et véhicules vendus, devant Volkswagen (21,9 et General Motors selon le CCFA. Le Brésil est un marché en expansion. Il fait partie de la BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine). L'italien est présent sur le marché indien grâce aux coopérations avec TATA Motors. [...]
[...] Un seul est retenu pour le contrat de long terme. Il va bénéficier lors du renouvellement du contrat d'un effet d'expérience ou d'apprentissage se traduisant par un coût moyen inférieur. Ainsi, le nombre de concurrents ex post risque d'être réduit à la fin du contrat puisque la firme retenue est très avantagée par rapport aux autres. Il faut l'anticiper lors du choix d'un mode d'organisation de la transaction Les défaillances de la coordination par les marchés sont renforcées si on prend en compte la spécificité des actifs (en amont pour maîtriser des techniques de production particulières, en aval pour protéger la réputation de la firme des comportements opportunistes des distributeurs). [...]
[...] Or, la répétition de contrats de court terme engendre des coûts de transaction élevés. L'entreprise a alors intérêt à s'intégrer verticalement afin de réduire les coûts de transaction. La rationalité limitée des agents et l'opportunisme bouleversent le cadre néo-‐classique de l'analyse de la concurrence. La première caractérise des comportements visant à être rationnels mais n'y arrivant pas du fait de capacités cognitives des Hommes. Ses aspects sont : la capacité limitée à recevoir, traiter et stocker des informations ; le langage et les difficultés d'interprétation. [...]
[...] Des économies d'échelle (diminution du coût induite par la hausse de la taille des unités de production) peuvent émerger de cette organisation. L'intégration verticale permet souvent l'apparition d'économie d'envergure (une entreprise est plus efficace quand le nombre de ses activités s'accroît) liées à une meilleure coordination au niveau de la gestion des différents stades de production : Gestion des stocks : l'avantage majeur est la diminution du volume total. Cette économie est non négligeable lorsque le coût unitaire du produit est élevé et/ou le coût d'opportunité du stockage est élevé. [...]
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