Concentration industrielle, obstacle à la concurrence, essor du capitalisme, économie mondiale, capitalisme monopolistique, secteurs non rentables
La société et l'économie mondiale ne peuvent se passer du mode de production capitaliste. En effet, depuis l'instauration de ce mode de reproduction basé sur la propriété privée et reposant sur l'accumulation croissante de capital, les richesses n'ont cessé d'augmenter. Cette augmentation des richesses a conduit les États à rechercher de plus en plus la croissance économique, et comme le dit Daniel Cohen, les États sont aujourd'hui dans une logique d'addiction à la croissance.
Ainsi, aujourd'hui, les sociétés ne pourraient se passer sur l'accumulation des richesses. En effet, dans la société de consommation dans laquelle nous nous trouvons, les Hommes sont sans cesse attirés par des besoins croissants et l'on ne sait pas ce que l'absence de progrès pourrait entrainer. Cependant ce capitalisme est-il pour autant dénuer d'imperfections ? En effet on ne peut cependant faire abstraction du fossé qui se creuse entre le Nord économique et le Sud, et la théorie de l'exploitation de Marx pourrait être utilisée pour décrire ces inégalités grandissantes.
[...] Ainsi, La concentration industrielle est-elle toujours un obstacle à la concurrence dans le système capitaliste ? Aux prémices du capitalisme, la concurrence semble juste puis à la concentration industrielle remet en cause la théorie classique, mais avec l'essor du capitalisme la concentration industrielle est devenue de plus en plus un obstacle à la concurrence sauf pour les secteurs non rentables ou nécessitant peu de capital Aux prémices du capitalisme, la concurrence semble juste puis à la concentration industrielle remet en cause la théorie classique Insuffisante concentration industrielle et un travail non rationnalisé Le passage du domestic system au factory system Domestic system : Economie agricole avec du travail familial Extension des activités de type artisanal en marge Proto-industrialisation : relation avec un marchand Economie peu industrialisée, avec progressivement une proto- industrialisation qui se met en place mais qui se reste encore insuffisante pour mettre en place la division du travail, des économies d'échelle et des gains de négociation. [...]
[...] Mais avec l'essor du capitalisme la concentration industrielle est devenue de plus en plus un obstacle à la concurrence sauf pour les secteurs non rentables ou nécessitant peu de capital De la rationalisation du travail par le système TF à l'avènement du capitalisme monopolistique ( La solution de Smith consiste en une division internationale du travail. Il énonce avec cette idée, la théorie des avantages comparatifs : Smith entend par là que chaque Etat ne doit pas produire quelque chose qui lui couterait moins chère si cela était produit par un pays plus performant dans ce domaine. [...]
[...] Or certaines activités sont rentables et nécessite peu de capitaux pour se développer. ( Les entreprises se trouvant dans des secteurs nécessitant peu de capitaux ne se trouvent donc pas lésées par rapport aux autres même si les autres possèdent plus de capitaux. ( De plus l'Etat est en connivence avec le capitalisme car il socialise les pertes, il s'occupe des sphères non rentables (cf. Théorie du capitalisme monopolistique d'Etat de Paul Boccara, qui intervient de plus en plus). Ces sphères non rentables ne sont donc pas lésées par la concurrence. [...]
[...] Il reprend le travail de Smith sur la division du travail (qui s'exerce sur les Etats) et l'applique au capitalisme et à l'entreprise. En effet, l'entreprise s'est considérablement développée du fait de la progression du capitalisme et la mise en place d'économie d'échelle devient possible. Cette nouvelle organisation rationnelle du travail permet des gains de productivité conséquents et la production de masse se développe notamment grâce à cette logique d'organisation du travail. ( Le problème Tayloriste est cependant l'insuffisance de la demande par rapport à l'offre. [...]
[...] La concentration industrielle est-elle toujours un obstacle à la concurrence ? La société et l'économie mondiale ne peuvent se passer du mode de production capitaliste. En effet, depuis l'instauration de ce mode de reproduction basé sur la propriété privée et reposant sur l'accumulation croissante de capital, les richesses n'ont cessé d'augmenter. Cette augmentation des richesses a conduit les États à rechercher de plus en plus la croissance économique, et comme le dit Daniel Cohen, les États sont aujourd'hui dans une logique d'addiction à la croissance. [...]
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