Comme on pouvait le lire dans un article début 2009, parmi les 50 premières banques mondiales par capitalisation boursière, les 3 premières sont chinoises. Mais cela n'est pas un hasard, avant d'en arriver là, le secteur bancaire Chinois a bel et bien connu et connaît encore des transformations impressionnantes au regard de son modèle de départ.
Mais avant d'aborder le système bancaire chinois et ses caractéristiques, nous allons rappeler quelques chiffres importants et présenter quelques particularités de ce pays.
Tout d'abord, il faut noter que la Chine occupe le 3ème et le 1er rang mondial en termes de superficie et de population avec environ 9,6 millions de km² et 1,33 milliards d'hommes. Actuellement, la Chine est la 3ème économie mondiale avec un PIB de 4 400 milliards de dollars, soit environ 1,5 fois celui de la France, passant ainsi devant l'Allemagne. De plus sa croissance est de l'ordre de 8%, en légère baisse par rapport à 2007 mais tout de même confortable. Mais ces chiffres sont à relativiser sachant que la Chine part de très loin et que son PIB par habitant n'est que de 6 000 dollars alors que celui de la France et de l'Allemagne est 8 fois plus élevé pour atteindre environ 33 000 dollars.
Aussi, il est important de rappeler que la Chine est un pays communiste depuis 1949, présidé par Hu Jintao depuis 2003, précédemment dirigé par Mao Zedong qui a plongé le pays dans un chaos total, entraînant misère et famine. Sa langue officielle est le mandarin, sa monnaie est le Yuan RMB et sa capitale est Pékin (...)
[...] Donc, ces personnes ont tout intérêt à ne pas ouvrir de comptes bancaires. Troisièmement, les inconvénients de la carte bancaire conduisent la population à fuir les banques. Comme mentionné précédemment, l'utilisation de la care bancaire n'est pas un moyen de paiement populaire en Chine. D'après une recherche d'une société financière, le taux de possession de la carte bancaire est de le taux a atteint 44,5% dans les villes de premier rang dans celles de deuxièmement rang et dans celles de troisième rang. [...]
[...] La responsabilité de chacun doit être clarifiée. La notion de protection sociale se confond avec celle de l'assurance. La Chine est de plus en plus touchée par le vieillissement de sa population donc le problème des retraites se pose. D'une part, les fonds de pensions sont touchés par ce phénomène, en effet, dans certaines régions ils sont en déficit. D'autre part, la réforme du système de la sécurité sociale ayant commencé dans les années 80, les personnes retraitées avant cette époque n'ont jamais versé de cotisations. [...]
[...] Le système bancaire chinois a connu d'importants changements depuis le début des années 1980. Pendant les trois premières décennies ayant suivi la révolution de 1949, la Chine comptait une seule banque : la People's Bank of China (PBOC), qui assumait les deux rôles, de banque centrale, et de banque commerciale, contrôlant aussi bien la politique monétaire, les réserves de change, que les dépôts et les prêts. L'activité bancaire était régulée par la SDPC, le Conseil d'Etat. Suite aux réformes économiques entamées en 1978 par Deng Xiaoping, quatre banques d'Etat spécialisées chacune sur un secteur particulier seront introduite entre 1978 et 1994, afin d'assurer la fonction commerciale de la PBOC, il s'agit de la Bank of China de l'Agriculture Bank of China de la People's Construction Bank of China (PCBC), et de l'Industrial and Commercial Bank of China (ICBC). [...]
[...] En effet, il souhaite conquérir de nouveaux marchés, notamment en Afrique et dans les pays lusophones. On peut se demander si la Chine n'est pas entrain de devenir une grande puissance mondiale, pourra-t-elle faire jeu égal avec la Puissance Américaine ? Bibliographie 1. Revue : Revue Financière Grande Chine 333 Octobre 2008, MINEFE DGTPE Revue Financière Grande Chine 334 Décembre 2008, MINEFE DGTPE 2. [...]
[...] Le développement des marchés financiers est même en retard par rapport à l'économie. Troisièmement, la réaction rapide et significative de l'Etat a redonné confiance au marché. Avec la crise, le gouvernement chinois a tout de suite relâché sa politique monétaire. Pékin a agi sur la variation des taux d'intérêts comme le font les autres pays, en les abaissant, le gouvernement a stimulé le crédit. Mais la Chine possède une particularité : grâce à ses importantes réserves de change, elle peut agir massivement sur la quantité de crédit disponible. [...]
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