capitalisme, modèle dominant, aide essentielle de l'Etat, cercle de la productivité, imperfections du capitalisme
« Si le capitalisme subsiste en dépit de ses imperfections et de ses injustices, c'est parce qu'il n'y a pas de remplaçant présentable ». Cette phrase d'A.Sauvy démontre qu'aujourd'hui, la société et l'économie mondiale ne peuvent se passer du mode de production capitaliste. En effet, depuis l'instauration de ce mode de reproduction basé sur la propriété privée et reposant sur l'accumulation croissante de capital, les richesses n'ont cessé d'augmenter. Cette augmentation des richesses a conduit les États à rechercher de plus en plus la croissance économique, et comme le dit Daniel Cohen, les États sont aujourd'hui dans une logique d'addiction à la croissance.
Ainsi, aujourd'hui, les sociétés ne pourraient se passer sur l'accumulation des richesses. En effet, dans la société de consommation dans laquelle nous nous trouvons, les Hommes sont sans cesse attirés par des besoins croissants et l'on ne sait pas ce que l'absence de progrès pourrait entrainer. On ne peut cependant faire abstraction du fossé qui se creuse entre le Nord économique et le Sud, et la théorie de l'exploitation de Marx pourrait être utilisée pour décrire ces inégalités grandissantes.
[...] - La propriété privée des moyens de production pousse les employeurs à mettre de plus en plus de pression sur les travailleurs pour être le plus compétitif possible malgré la présence de règles, on parle d'intensification du travail. - Le problème écologique se pose avec le capitalisme même si ce problème n'en a pas toujours été un. Aujourd'hui, il en devient un avec le problème de la destruction de la planète et d'écosystèmes : on assiste ainsi à un retour de la pensée Malthusienne. II- . [...]
[...] - Le communisme a connu un échec durant la guerre froide et reste encore aujourd'hui principalement une idéologie écrite. En effet, il semble difficile d'adopter une logique communiste alors que le reste des économies sont ouvertes et sont interdépendantes. - La décroissance, invoquée notamment par les écologistes. Or, la majorité des économistes actuels, qu'ils soient d'orientation libérale ou keynésienne, estiment que la croissance économique permet la création de richesses, d'emploi, l'amélioration du niveau de vie, l'amélioration de l'éducation et des systèmes de santé et l'allongement de l'espérance de vie. [...]
[...] Le capitalisme a-t-il gagné ? Si le capitalisme subsiste en dépit de ses imperfections et de ses injustices, c'est parce qu'il n'y a pas de remplaçant présentable Cette phrase d'A.Sauvy démontre qu'aujourd'hui, la société et l'économie mondiale ne peuvent se passer du mode de production capitaliste. En effet, depuis l'instauration de ce mode de reproduction basé sur la propriété privée et reposant sur l'accumulation croissante de capital, les richesses n'ont cessé d'augmenter. Cette augmentation des richesses a conduit les États à rechercher de plus en plus la croissance économique, et comme le dit Daniel Cohen, les États sont aujourd'hui dans une logique d'addiction à la croissance. [...]
[...] Ainsi, comment le capitalisme s'est imposé comme modèle dominant dans notre société ? Le capitalisme à été légitimé car il a permis de répondre à différents problèmes grâce à une aide de l'Etat, a tel point qu'il apparait difficile de se passer de ce mode de production aujourd'hui. Grâce à une aide de l'Etat, le capitalisme a permis de répondre a différents problèmes et donc d'être légitimé malgré ses défauts contemporains Une capacité d'adaptation du capitalisme grâce à une aide essentielle de l'Etat - Le capitalisme à permis de résoudre le problème que posait Malthus : Malthus pensait que les ressources seraient insuffisantes car la croissance de la population (exponentielle) était supérieure à la croissance des ressources. [...]
[...] Il est donc nécessaire que le capitalisme, rappelons-le, source de productivité, stimule l'activité économique pour renouveler le capital devenu désuet, c'est la deuxième phase, celle d'expansion. - Aujourd'hui, on voit mal, sans croissance, comment assurer le retour vers l'équilibre des finances publiques et le financement de la protection sociale. On voit également mal comment relancer la machine économique sans croissance. Des alternatives réduites au stade théorique et difficilement applicables renforcent la légitimité du capitalisme malgré ses imperfections - Depuis la fin de la Guerre Froide, le libéralisme semble être devenu une sorte de norme et s'impose aujourd'hui à la quasi-totalité des Etats. [...]
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