En 2008, le monde a été frappé par une crise importante qu'il n'avait plus connu depuis celle de 1929. Une période durant laquelle les Etats sont en récession économique, avec une forte augmentation du chômage, une baisse des investissements et de la consommation.
Pour beaucoup d'agents économiques, les marchés financiers n'ont pas joué le rôle de régulateur. La régulation étant un processus complexe permettant aux économies de se reproduire dans le temps en conservant l'essentiel de leurs caractéristiques sociales, économiques et culturelles malgré les crises qui les affectent.
Il en convient donc, après avoir rappelé l'origine ainsi que les facteurs étant à l'origine de la crise des subprimes de se demander qu'elles sont les effets attendus de la globalisation des marchés financiers ? Puis, dans un second temps qu'elles sont les effets indésirables et les risques liés à la globalisation financière ?
Pour commencer, nous allons rappeler le contexte, ainsi que les principaux facteurs qui ont conduit à la crise des subprimes en 2008.
Tout commence par une politique monétaire favorable à la croissance avec de très bas taux d'intérêts, mené par Alain Greenspan, ministre de l'économie aux Etats-Unis, suivant la théorie de l'effet multiplicateur de Keynes.
Des taux d'intérêts faibles qui ont encouragé les ménages, même à faibles revenus, à contracter des crédits pour investir dans l'immobilier. (...)
[...] Les effets attendus de ce développement et de cette globalisation sont dans un premier temps de remplir des fonctions de base, l'émission de monnaie, la gestion des moyens de paiement, l'intermédiation de l'épargne vers l'investissement productif et pour finir la gestion des risques. Explications : les banques et les compagnies d'assurances contribuent, avec les marchés financiers à l'intermédiation de l'épargne vers l'investissement ainsi qu'à la conception et à la gestion de produits et servies permettant aux Etats, aux entreprises et aux ménages de gérer leurs risques. Dans un second temps, la globalisation des marchés financiers doit permettre le fonctionnement de l'économie réelle de production et de distribution de bien et de service. [...]
[...] Le rôle et l'impact des marchés financiers globalisés sur l'économie mondiale En 2008, le monde a été frappé par une crise importante qu'il n'avait plus connu depuis celle de 1929. Une période durant laquelle les Etats sont en récession économique, avec une forte augmentation du chômage, une baisse des investissements et de la consommation. Pour beaucoup d'agents économiques, les marchés financiers n'ont pas joué le rôle de régulateur. La régulation étant un processus complexe permettant aux économies de se reproduire dans le temps en conservant l'essentiel de leurs caractéristiques sociales, économiques et culturelles malgré les crises qui les affectent. [...]
[...] La titrisation est une pratique consistant à transformer n'importe quel actif en un titre financier. L'une des autres facteurs étant le contournement et le non-respect des règles prudentielles pour permettre aux banques de revendre leurs titres créent sur des emprunts risqués. Pour finir la spéculation de l'ensemble de ces banques ont permis de globaliser le problème si bien que le jour ou la bulle spéculative a explosé, c'est toute l'économie mondiale qui a été frappé. Il demeure cependant impossible de savoir qui détenait réellement les risques. [...]
[...] Même si dans ces situations, les institutions financières les aident, ils demandent en contrepartie une rigueur de l'Etat qui pénalise les populations (hausse des prix, chômage, privatisation réduction du nombre de fonctionnaires ) ex : la Grèce, l'Irlande et l'Espagne Un second risque de la globalisation financière étant une crise des taux de changes qui émanent d'un grand nombre de titres revendus par peur d'une dévalorisation et engendre une panique qui provoque l'effondrement des marchés financiers. Le troisième risque reste la création de bulle spéculative, qui une fois peur effondrement entrainant les marchés financiers avec elles. Pour finir, ont constate qu'il demeure des zones d'opacité de certains marchés qui empêche la sureté et la clarté des informations et la transparence L'ensemble de ces risques provoque une instabilité croissante du système économique tout entier et rendent les agents économiques méfiants par manque de confiance surtout au lendemain des crises comme celle de 2008. [...]
[...] Les marchés financiers n'ont pas su l'empêcher. Aujourd'hui ils se doivent d'éviter une prochaine crise semblable en fixant des règles plus contraignantes et des contrôles plus poussés avec l'aide d'institutions telles que l'OMC ou le FMI. Ex : accord de bêle de 2008% qui oblige les banques à posséder de leurs réserves de liquidités. Même si ces pratiques vont à l'encontre des principes libéraux. Il demeure primordiale pour les marchés financiers de regagner la confiance des agents économiques, comme nous l'explique Elie Cohen dans sont livre penser la crise. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture