Le bananier est une plante herbacée géante, vivace, qui atteint une hauteur de 1,5 à 6 mètres de hauteur en Afrique. Le bananier adulte, ou plante mère se compose d'un cornus avec racines et rejets, un pseudo tronc pourvu des feuilles et un régime de fruits.
Le cormus est la partie souterraine du bananier. Sa forme dépend du cultivar mais généralement ronde. A son sommet, il porte le méristème apical ou point végétatif d'où les feuilles se développent vers le haut et le tissu de sa tige vers le bas. Bien que souterrain le cormus constitue la vraie tige de la plante. Le méristème apical reste enfoui ou au niveau du sol durant la croissance végétative mais monte rapidement après l'initiation florale. Les nouvelles feuilles se développent au centre à partir du méristème en repoussant les feuilles (...)
[...] Elle émerge au sommet du pseudo-tronc après le déploiement de la dernière feuille ; c'est la jetée SYNTHESE Les bananiers à fruits de dessert et les plantains se plaisent sur les basses terres ; ils ne se développent que lentement en altitude. Les bananiers produisant des bananes à cuire et à bière préfèrent par contre les altitudes entre 1200 et 1800 m au dessus du niveau de la mer en Afrique de l'Est. Les bananiers tolèrent un peu d'ombre. Les intensités lumineuses optimales ne sont pas connues. Les bananiers sont généralement cultivés entre et 33°C. Une température supérieure n'empêche pas leur culture si l'apport d'eau est adéquat. [...]
[...] Le cormus est la partie souterraine du bananier. Sa forme dépend du cultivar mais généralement ronde. A son sommet, il porte le méristème apical ou point végétatif d'où les feuilles se développent vers le haut et le tissu de sa tige vers le bas. Bien que souterrain le cormus constitue la vraie tige de la plante. Le méristème apical reste enfoui ou au niveau du sol durant la croissance végétative mais monte rapidement après l'initiation florale. Les nouvelles feuilles se développent au centre à partir du méristème en repoussant les feuilles. [...]
[...] Apport du vivant, de la nature, le climat III. La croissance, le développement du fruit IV. La récolte et la vente du fruit à un prix valorisant l'apport du vivant EXERCICE Mr KAYEMBE a acquis un terrain et veut commencer une exploitation agricole qu'il nomme ‘'Les Copines''. Cette exploitation dispose de : - un terrain fertile estimé à 1500 $ - une main d'œuvre pour planter les bananes et les entretenir avec de l'engrais : 900 $ - argent en espèce : 2000 $ - argent en banque : 500 $ - cormus à planter des bananes : 300 $ Cette plantation effectue les opérations suivantes : - 3/1 : achat des engrais pour évolution saine de la plantation : 150 $ - 7/2 : paiement frais main d'œuvre : 900 $ - 10/3 : retrait de l'argent en banque : 300 $ - 15/3 : achat de cormus à planter les bananes : 300 $ - 15/11 vente de 40 régimes de bananes mûres : 20 $ par régime Ecritures Bibliographie R. [...]
[...] Exposés à moins de les bananiers périssent. Nous remarquons que l'apport du ‘'vivant'' est très grand pour le bananier, que l'apport de l'homme. Le développement du fruit prend 2 à 6 mois. Il dépend des conditions écologiques du cultivar (les régimes comptant plusieurs mains et plusieurs doigts par mains mûrissent plus lentement que les régimes portant peu de fruits) et du degré de ploïdie (les régimes de ploïdies mûrissent plus rapidement que les régimes de triploïdes. Graphique 6m III IV I II I. [...]
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