Apports et limites du capital humain

Thèmes abordés

Apports - limites - capital humain - salarié - entrepreneur - nation

Résumé du document

Le concept de capital humain peut être défini comme « l'ensemble des capacités physiques ou intellectuelles d'un individu ou d'un groupe d'individus favorisant la production d'un revenu »(Dictionnaire d'économie et de sciences sociales). Nous allons nous intéressés sur les apports et les limites du capital humain dans une situation de croissance.
Nous verrons dans une première partie les apports de la théorie du capital humain sous trois angles différents et ensuite nous aborderons les limites de cette théorie.

Nous allons évoquer les apports de la théorie selon les salariés, les entrepreneurs et la nation.
Le salarié est important dans une entreprise car c'est grâce à lui qu'une entreprise fonctionne. Et pour que celui-ci soit le plus efficace possible, il est nécessaire qu'il soit motivé par les tâches qu'ils exécutent. Il doit être épanoui avec son environnement c'est à dire avec ses collèges de travail. Une bonne ambiance doit régner au sein d'un groupe et avec les chefs d'équipe. De plus, il doit être solidaire et doit être consulté pour les choix qu'ils désirent mettre en place. Le but recherché est l'augmentation de la productivité, du rendement toujours croissant.
Pour que le salarié soit le plus détendu, qu'il soit le plus apte à produire et pour éviter l'absentéisme, certaines entreprises se sont équipées de salles de sport.
Le capital humain se construit et se développe par la connaissance acquise grâce à l'école et grâce aux familles( ce point sera abordé en profondeur dans la troisième partie). De plus, pour accroître les compétences et les connaissances du salarié, des formations sont réalisées. Celles-ci sont très importantes car notamment, elles permettent de se familiariser avec les nouvelles technologies utilisées par l'entreprise mais aussi d'obtenir un poste plus important avec des responsabilités plus importantes.

Le capital humain d'un salarié est très intéressant pour un entrepreneur car cela lui donne une confiance sur les capacités du salarié, mais lui attribuer une formation est risquée car une fois que celle-ci est terminée, le salarié peut quitter l'entreprise étant donné les compétences accrues.
Certains entrepreneurs font des journées de formation pour donner des connaissances à leurs salariés. Ces derniers auront plus de compétences, le but étant d'augmenter la compétitivité avec les entreprises d'un même secteur d'activité car la productivité augmente.
D'autres peuvent refuser une formation car c'est un investissement qu'ils peuvent juger non rentable. Cela ne nuira pas à leur entreprise car ils savent très bien qu'un autre salarié postulera pour un poste étant donné la situation économique actuelle (taux de chômage très élevé).

En ce qui concerne la nation, investir dans le capital humain est nécessaire, que ce soit grâce à l'éducation ou grâce aux compétences améliorées.
C'est grâce à l'école (gratuite) que tout individu acquiert des connaissances et cela forge le capital humain. Les individus au cours de leur scolarité n'ont donc subit aucunes inégalités vis à vis des informations communiquées.
L'Etat participe activement à la formation des adultes pour lutter contre le chômage. On peut citer le cas du FONGECIF par exemple qui est prise en charge. Ainsi, les adultes peuvent obtenir des connaissances dans un autre domaine que celui qu'ils maîtrisaient auparavant tout en étant rémunéré.
Les jeunes sont également aidés lors des contrats d'alternance, contrats qui alternent école et travail. Ils sont rémunérés et peuvent obtenir un diplôme en ayant une expérience dans le domaine choisi.


Nous allons traiter les limites de cette théorie.
D'abord, cette théorie rencontre des aléas dans sa capacité à représenter la réalité et la diversité du monde professionnel.
En effet, on constate une fuite du capital humain. L'entreprise ne peut pas obliger un salarié à rester dans la structure. Celle-ci transforme le savoir et le savoir-faire du salarié en capital physique dont le but est l'immobilisation.
Il est donc possible que le salarié souffre moralement et en vienne au suicide.
On constate donc deux types de segments : ceux qui sont heureux d'avoir un travail et qui évoluent et il y a ceux qui vivent du chômage, du travail précaire.

Ensuite, cette théorie a des difficultés à prendre en considération les aspirations individuelles de l'ensemble des salariés.
En effet, il est très difficile pour une entreprise de répondre à toutes les attentes des salariés. En effet, le capital humain est un coût pour l'entreprise. Certains salariés auront le privilège de voir des efforts fournis par l'entreprise. Le but principal d'une entreprise n'est pas de satisfaire les employés mais de satisfaire les clients d'une unité commerciale. Ce qu'elle désire c'est la rentabilité maximale, et c'est pour cela que l'entreprise s'efforce de faire le maximum pour que le salarié se sente bien.

En conclusion, il est important de rappeler que le capital humain est très important du point de vue du salarié, de l'entrepreneur et de la nation. C'est grâce à ce capital qu'il ya croissance économique et rentabilité. Mais cette théorie connaît ses limites dans la capacité à représenter la réalité et la diversité du monde professionnel, et à prendre en considération les aspirations individuelles des salariés.

Extraits

[...] Ce qu'elle désire c'est la rentabilité maximale, et c'est pour cela que l'entreprise s'efforce de faire le maximum pour que le salarié se sente bien. En conclusion, il est important de rappeler que le capital humain est très important du point de vue du salarié, de l'entrepreneur et de la nation. C'est grâce à ce capital qu'il ya croissance économique et rentabilité. Mais cette théorie connaît ses limites dans la capacité à représenter la réalité et la diversité du monde professionnel, et à prendre en considération les aspirations individuelles des salariés . [...]

[...] C'est grâce à l'école (gratuite) que tout individu acquiert des connaissances et cela forge le capital humain. Les individus au cours de leur scolarité n'ont donc subit aucunes inégalités vis à vis des informations communiquées. L'Etat participe activement à la formation des adultes pour lutter contre le chômage. On peut citer le cas du FONGECIF par exemple qui est prise en charge. Ainsi, les adultes peuvent obtenir des connaissances dans un autre domaine que celui qu'ils maîtrisaient auparavant tout en étant rémunéré. [...]

[...] De plus, pour accroître les compétences et les connaissances du salarié, des formations sont réalisées. Celles-ci sont très importantes car notamment, elles permettent de se familiariser avec les nouvelles technologies utilisées par l'entreprise mais aussi d'obtenir un poste plus important avec des responsabilités plus importantes. Le capital humain d'un salarié est très intéressant pour un entrepreneur car cela lui donne une confiance sur les capacités du salarié, mais lui attribuer une formation est risquée car une fois que celle-ci est terminée, le salarié peut quitter l'entreprise étant donné les compétences accrues. [...]

[...] Nous allons nous intéressés sur les apports et les limites du capital humain dans une situation de croissance. Nous verrons dans une première partie les apports de la théorie du capital humain sous trois angles différents et ensuite nous aborderons les limites de cette théorie. Nous allons évoquer les apports de la théorie selon les salariés, les entrepreneurs et la nation. Le salarié est important dans une entreprise car c'est grâce à lui qu'une entreprise fonctionne. Et pour que celui-ci soit le plus efficace possible, il est nécessaire qu'il soit motivé par les tâches qu'ils exécutent. [...]

[...] En effet, on constate une fuite du capital humain. L'entreprise ne peut pas obliger un salarié à rester dans la structure. Celle-ci transforme le savoir et le savoir-faire du salarié en capital physique dont le but est l'immobilisation. Il est donc possible que le salarié souffre moralement et en vienne au suicide. On constate donc deux types de segments : ceux qui sont heureux d'avoir un travail et qui évoluent et il y a ceux qui vivent du chômage, du travail précaire. [...]