Les données qui seront présentées dans les tableaux à l'intérieur de ce dossier sont issues notamment du site de l'INSEE. Nous avons trouvé judicieux, voire pertinent d'étayer nos propos et d'expliciter nos arguments avec des informations issues des sites des banques notamment le CREDIT AGRICOLE, qui selon nous sont des sources d'informations assez fiables.
L'objectif de cette étude est de faire une analyse critique de la conjoncture française, d'étudier les comportements et les choix des différents acteurs de l'économie, et de voir l'impact des décisions de ceux-ci sur cette conjoncture.
Aussi dans un souci de clarté nous nous sommes astreints au cheminement suivant : nous présenterons tout d'abord l'environnement international, avant de passer dans la seconde partie de notre rapport à l'analyse du paysage français et enfin nous terminerons dans la dernière partie par expliciter les résultats de l'étude de la sphère réelle.
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[...] La demande intérieure : Consommation Épargne Source INSEE D'après les données de l'INSEE, au cours du T4 de 2007, le revenu disponible brut des ménages ralentit légèrement recule par rapport au T On va travailler sur la consommation de ménage avec la fonction de Kyenes qui s'applique à court terme : aY+b Ou C = La consommation des ménages, a est une constante dans le temps et est inférieure à Y est le revenu, et b est la part de la consommation qui ne dépend pas du revenu, mais de la désépargne. On constate que la consommation de ménage évolue de la même manière que le revenu, cette relation est stable et croissante. [...]
[...] À cela semble aussi s'ajouter l'épuisement des effets de la loi galant depuis mi-2007. Le rôle de BCE est assez délicat, il devrait se balancer entre la stimulation de la croissance et la lutte contre l'inflation, la croissance économique puisse être tirée par l'inflation, mais en même temps, une forte inflation ne puisse pas maintenir le pouvoir d'achat des ménages ni réserver la valeur de monnaie européenne. Ce phénomène d'inflation a un impact négatif sur le pouvoir d'achat des ménages. [...]
[...] La croissance américaine, qui a fléchi au dernier trimestre de 2007, resterait très faible au premier semestre de 2008. Les raisons de cette faiblesse tiennent à l'ajustement du marché immobilier qui se devrait se poursuivre, ainsi que l'investissement résidentiel qui continuerait de peser sur la croissance. D'autre part, le durcissement des conditions de financement, déjà notable au dernier trimestre de 2007 et qui d'après les enquêtes auprès des banques devrait se poursuivre en 2008, augure un ralentissement de l'investissement des entreprises. [...]
[...] L'État peut accroître ou restreindre la demande globale pour stimuler ou freiner l'activité économique (Keynes). La contribution des dépenses publiques à la croissance a chuté de 2006 à 2007 : on remarque donc que les dépenses de consommation de l'État croissent moins vite que la croissance. Ceci s'explique par l'intention du gouvernement français qui vise à faire diminuer le poids de l'État dans l'économie. En effet, l'objectif affiché du gouvernement actuel est de diminuer les dépenses de fonctionnement et d'augmenter les investissements publics. [...]
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