Vision marxiste, économie, Karl Marx, exploitation, classe capitaliste, classe prolétaire, prolétariat, capitalisme, droits, devoirs, cohésion sociale, salaire de subsistance, dévalorisation du capital, système capitaliste, transformation du capitalisme, retraite, Code du travail, analyse marxiste, taux de profit
Marx va définir un certain concept d'exploitation qui est particulièrement spécifique. L'exploitation que nous faisons ne correspond pas à la vision marxiste. L'exploitation, c'est ce que tout le monde souhaite, dans nos sociétés, c'est le bonheur.
Il y a deux classes : les capitalistes et les prolétaires. Ils se distinguent juridiquement et ne disposent pas des mêmes droits et devoirs.
[...] Une manière violente : la guerre produit la destruction du capital. La guerre se complète avec le capitaliste, c'est un moyen simple de régulier ce qui se passe au niveau de la population. Le système capitaliste est un système qui fonctionne très bien avec la guerre. Une manière douce : La scolarisation de l'école est un moyen pour faire une dévalorisation du capital. Il y a aussi la santé. Le système capitaliste est marqué par des cycles économiques. Il va connaitre des faces cycliques (détérioré ou positif). [...]
[...] L'un n'a pas le choix (soumis à celui qui l'a embauché). Il y a un rapport hiérarchique dans les entreprises. Dans les faits, le prolétaire ne rachète pas la production qu'a son patron, il achète plusieurs produits. L'exploitation de fait est invisible. Aucun salarié ne mesure son niveau d'exploitation. La production est collective donc l'apport individuel est impossible. Déterminer la part individuelle est compliqué. Comment fait-on pour la rémunération individuelle ? Cela est difficile Le salaire est versé au niveau des compétences de l'individu. [...]
[...] Marx pense que l'exploitation est due à un fonctionnement d'une société normal. Cependant, le prolétaire veut bien être exploité, mais le moins possible si possible. Moralité, les intérêts des classes sont antagonistes. = Le résultat de l'exploitation va donc se déterminer par un rapport de force entre les classes. Il va avoir un moment de négociation. D'où vient la lutte des classes ? Les intérêts des classes sont anomiques. En effet, les intérêts ne sont pas les mêmes pour tout le monde. [...]
[...] L'exploitation que nous faisons ne correspond pas à la vision marxiste. L'exploitation, c'est ce que tout le monde souhaite, dans nos sociétés, c'est le bonheur manière : Il y a deux classes : les capitalistes et les prolétaires. (Se distinguent juridiquement et ne dispose pas des mêmes droits et devoirs). Le capitaliste = le droit d'emprunter de l'argent. Cependant, le prolétaire n'a strictement rien. Les capitalistes donnent de l'argent aux prolétaires, en revanche les prolétaires nous donnent sa force de travail. [...]
[...] On invente des « statuts protecteurs » qui vont protéger le prolétariat. Ex. : Le Code du travail - statut du salarié. Le lien de subordination c'est-à-dire l'un a plus de pouvoir envers l'autre. Il faut donc définir une limitation du travail, un salaire minimum . PROTECTION. Le statut de salarié est un statut qui protège les salariés. Ex. : La retraite - statut protecteur des salariés. La retraite consiste à percevoir un salaire sans travailler au bout d'un certain âge sous certaines conditions. Ex. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture