Economie, doctrines économiques, économie de subsistance, consommation, monnaie, développement industriel, capitalisme, révolution industrielle, mercantilisme, protectionnisme, croissance, Keynes, politiques économiques
D'économie et d'économie politique, le premier terme est le plus ancien, inventé par les Grecs dont les racines sont "oikos" et "nomos". L'économie est donc la règle de maison, ayant un sens beaucoup plus large en tant que patrimoine, comprenant le logement, les terres, les objets de la maison ainsi que les esclaves très nombreux et considérés comme des meubles.
Il y a donc un clivage clair entre économie privée et politique publique et citoyenne (qui exclut esclaves, métèques et femmes). Cette distinction a perduré jusqu'au début du 19ème siècle où pour la première fois apparaît l'expression d'"économie politique" par Antoine De Montchrestien qui publie en 1615 "l'économie politique". Celle-ci dépendrait d'après lui de l'Etat et du gouvernement ainsi que des relations sociales individuelles et aujourd'hui mondialisées.
[...] L'usus est un droit exclusif, on se sert de ce qui nous appartient. "Fructus" c'est le droit de recevoir les fruits de sa propriété au sens imagé c'est a dire revenus et productions qui résultent du domaine, c'est aussi un droit exclusif sur les fruits de la propriété. "Abusus" a quelque chose de radical, utiliser jusqu'au bout et donc c'est le droit de propriété pour en faire ce qu'on veut, on peut la conserver, en louer l'usage, la donner gratuitement, la vendre, la transférer et on peut même la transmettre après sa mort et le terme est tellement radical jusqu'a détruire l'objet et donc il peut en faire ce qu'il veut, ce que l'on appelle en économie la transferabilité. [...]
[...] L'influence religieuse des monothéismes est majeure or elles prêchent un idéal de modération économique : l'activité éco est acceptée mais doit rester secondaire parce que a dimension spirituelle sur les aspects mercantiles et donc la vie éco doit être limitée et les personnages honorés sont les personnages religieux comme les moines, en plus des militaires et commerçants et banquiers sont méprisés et on doit pratiquer le partage, l'aumône. C'est d'autant plus vrai que l'Islam et le christianisme condamnent certaines formes éco notamment le prêt a intérêt et cela perdure aujourd'hui pour l'Islam. Cela a des conséquences éco et le Judaïsme autorise ce prêt et un Juif peut prêter a des non-Juifs et cela explique que Juifs et Lombards vont s'occuper de la banque au Moyen-Age. Cette dimension spirituelle majeure se ressent dans la musique, la peinture et l'architecture. [...]
[...] C'est ce qu'on appelle parfois la surchauffe des moteurs économiques. Cette analyse est donc double entre chômage et inflation. Pour lui, il n'y a que 2 situations possibles mais il ne peut pas exister inflation et chômage parce que chez Keynes, le chômage s'explique par la faiblesse de la demande et l'inflation par l'excès de demande. Il ne peut donc pas y avoir une coexistence du chômage et de l'inflation. Dans les années 60, on va voir apparaitre les 2 phénomènes simultanément. [...]
[...] Si c'est le même prix, il y a donc des intermédiaires et il se méfie du commerce. Il faut donc imaginer un mode de vie en société qui élimine les intermédiaires, du producteur au conservateur. Ca n'est pas suffisant parce que les hommes sont dominés par des passions et pour il étudie très précisément toutes les passions humaines et il dit qu'elles sont naturelles et qu'il faut y obéir mais elles varient d'une personne à l'autre et il faut les étudier et il va imaginer une société dont les hommes ont des passions complémentaires et dans les passions il y en a des sensitives qui entraineront le gout du luxe ou laxisme les deuxièmes sont affectives qui changent suivant l'âge entre l'enfance avec l'amitié, l'amour pour la jeunesse etc etc . [...]
[...] Jeudi 18 Septembre 2014 Quelle est la méthode propre a la science économique ? Une décision économique comporte toujours un gain, une satisfaction et d'un autre coté, un cout, une dépense et donc le principe de rationalité signifie que l'on prend une décision seulement si le gain est supérieur au cout, par exemple, une entreprise se demande si elle doit produire plus, cette décision entraine évidemment un cout supplémentaire, en économie ce supplément de dépense se nomme "cout marginal" et si on décide de produire plus, on a l'espoir de vendre et compte tenu du marché, on espère de cette décision un supplément de recette, appelé "recette marginale" et évidemment, l'entreprise décide de produire plus si et seulement si la recette est supérieure a la perspective du cout. [...]
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