François Perroux, la croissance économique correspond à « l'augmentation soutenue pdt une ou plusieurs périodes longues d'un indic de dimension, pour une nation, le produit global net en termes réels ».
Le dt introduit une dimension qualitative alors que la croissance constitue un processus uniquement quantitatif. Comme le note Perroux « le dt est la combinaison des changements mentaux et sociaux d'une population qui la rendent apte à faire croître son produit réel global ».
La croissance n'est pas un phénomène homothétique et entraîne toujours des changements qualitatifs (...)
[...] La fonction Cobb Douglas Pour distinguer précisément la contribution à la croissance liée uniquement au volume de facteurs, Robert Solow a proposé en 1957 une méthodologie qui est à l'origine des travaux quantitatifs sur la croissance. Sa démarche s'appuie sur les propriétés d'une fonction de production particulière : la fctCobb-Douglas. Elle est caractérisée par des rendements d'échelle constants. Par csq si la croissance réellement observée est supérieure à la croissance prédite par la fonction Cobb-Douglas alors cela signifie qu'une part inexpliquée de la croissance est due à une amélioration de l'efficacité du processus productif : résidu de Solow. [...]
[...] -Croissance schumpetérienne ou croissance intensive : amélioration de l'efficacité des facteurs ( progrès technique produire plus avec moins de facteurs ( croissance durable. -Rendements factoriels : associe la production au volume d'un facteur utilisé, l'autre facteur étant considéré comme fixe. Les rdts factoriels sont généralement décroissants au-delà d'un certain seuil, car l'accumulation d'un seul facteur de prod tend à devenir moins efficace ( dv pour la 1ère fois par Jacques Turgot Des rdts décroissants correpondent à une pté marginale décroissante. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture