Stratégies bancaires, organisation du financement, modèle de pagano, marchés financiers, crise financière, bulles financières, modèle japonais, modèle allemand, modèle anglais, modèle français
La stratégie bancaire à s'effectue à deux niveaux : l'échelle institutionnelle et l'échelle de l'organisation. La crise financière de 2008 a mis à jour les criantes déficiences des systèmes financiers à financer des modèles de croissance équilibrés. L'émergence de bulles financières provient de l'octroi de crédits à des secteurs économiques pas durables.
[...] - Deuxième avantage des marchés financiers : les marchés évitent la connivence entre les parties qui se matérialisent par la prolongation de relations de crédit à distance au détriment de projets innovants. Marchés fi = forte dispersion des investisseurs. Cela permet une réallocation plus rapide des capitaux. Investisseurs attirés par le couple risque rendement immédiat. Ex : souche obligataire 5 ans : invest n'a pas intérêt à ce qu'elle vive plus tant qu'il sera remboursé. Economie en train de générer de nouveaux secteurs, fait émerger de nouveaux secteurs. A l'inverse les banques financent peu les start up. Banques : backward looking, mchés : forward looking, regardent vers le futur. [...]
[...] Et on a un équilibre entre l'investissement et l'épargne égal à fi*épargne=investissement Ça dit qu'on a une partie de l'épargne qui ne va pas être investie, cette perte = fi. On comprend que 1-fi = marge d'intermédiation La croissance économique, à partir de ce modèle, met en évidence que la croiss eco va être fonction de 4 facteurs : - Le A = la productivité totale des facteurs (du capital) - Marge d'intermédiation - Taux d'épargne - Facteur de dépréciation Le système financier peut jouer sur les trois premiers facteurs. Comment la profession bancaire est capable d'améliorer la productivité du capital ? [...]
[...] On regarde de manière empirique la durée moyenne. - Ces différences de rela sont en partie héritées de l'histoire : ensemble de restrictions réglementaires appliquées aux bqs à partir 30's : new deal, Glass-Steagall Act : cloisonnement des activités de détail vs activité d'investissement. Favorise l'émergence des marchés fi aux USA. Ces lois vont abonder à partir des 90's sous la mandature Clinton cf Financial Service Modernization Act : les banques us peuvent sans limitation avoir des activités de banque et de détail et d'investissement. [...]
[...] Formation d'un cercle vertueux. Mais ce modèle présente un certain nb d'inconvénients : dans les 2000's réformes de Schroder, on se pose la question sur le manque de compétitivité de l'éco all. On a estimé que le modèle de la banque universelle avait conduit à une mauvaise alloc du KP, à des entreprises que les bq connaissaient très bien, mais très matures et plus très compétitives sur les mchés internationaux. Situation qui ne favorise pas l'économique. Ce syst ne permet pas la réallocation de fonds dans de nouveaux secteurs. [...]
[...] Ajd l'état des connaissances fait qu'il est difficile de croire qu'augmenter la désintermédiation soit efficace sur l'efficience économique, monétaire et sur la stabilité éco. Comment diminuer le poids des bq et désintermédier ? 1. Attendre les effets de la réglementation prudentielle de Bâle 3 ; Les marchés fi deviennent plus compétitifs car les bq deviennent moins compétitives Compléter le dispositif institutionnel de supervision et de résolution des crises en Europe = UBE, articulée autour du mécanisme de supervision unique et de résolution unique, création d'un mché bancaire unique en Europe, augmentation de la concurrence entre banques : = davantage d'efficience, d'innovation ; Toutefois on sait que trop de concurrence peut conduire les bqs à modifier leur cpts (prise de + de risques, ou délaisser une partie d'activités, et éventuellement titriser) ; 3. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture