Coopérations inter-firmes, réseaux, théories de la firme, analyse transactionnelle, organisation industrielle
Alliances et réseaux entre firmes et groupes = caractéristique dominante de la dynamique industrielle contemporaine.
Partenariats => avantage concurrentiel aussi important que la qualité de l'organisation de ses propres ressources internes.
Mais ce qui est nouveau :
- Diversité des formes de coopération entre les firmes avec méthodes variées pour suivi et coordination des relations,
- Ampleur du phénomène (PME &firmes de grandes taille + national & international + rapprochement des petites et grandes entreprises).
Organisation industrielle de plus en plus complexe et frontières de l'entreprise de plus en plus floues : unités indépendantes = divisions externalisées des gdes entreprises mais division = quasi firme.
Analyses des systèmes industrielles remises en cause (nature et fonction de l'entreprise floues).
[...] La firme = coalition financière et humaine champs de négociation entre détenteurs de ressources spécifiques, dont les gains sont redistribués à tous les participants à travers une négociation en terme de jeu coopératif. Relations et processus de prise de décision à l'intérieur de la firme ET entre firmes. Organisation de modèle Américain ou Japonais remplace organisation classique en U ou en M : Point commun : circulation et diffusion d'info nécessaires pour processus de décisions efficaces. Mais nature différente. Firme A : Structure informationnelle verticale. [...]
[...] Pratiques récentes dans la dynamique industrielle Quasi-désintégration se développe de plus en plus : grandes entreprises, qui ont internalisé un très grand nombre d'activités, décident de les externaliser petites sociétés. Cette PMIsation = désir de créer des entreprises pour les insérer dans le réseau de la firme dominante. Souplesse + meilleure motivation des managers + spécialisation de la maison mère et taille augmente, tout en restant petite (parcellisée, IBM, APPLE Stratégie peut aussi correspondre à des pratiques de retraits d'activité ou fermeture d'un site. [...]
[...] Réseaux et coopérations inter-firmes Alliances et réseaux entre firmes et groupes = caractéristique dominante de la dynamique industrielle contemporaine. Partenariats avantage concurrentiel aussi important que la qualité de l'organisation de ses propres ressources internes. Mais ce qui est nouveau : Diversité des formes de coopération entre les firmes avec méthodes variées pour suivi et coordination des relations Ampleur du phénomène (PME &firmes de grandes taille + national & international + rapprochement des petites et grandes entreprises). Organisation industrielle de plus en plus complexe et frontières de l'entreprise de plus en plus floues : unités indépendantes = divisions externalisées des gdes entreprises mais division = quasi firme. [...]
[...] Parce qu'elles sont des lieux de coordination souvent moins onéreux que les marchés. Il existe des couts de transaction (=couts d'utilisation du marché) liés à la découverte de prix pertinents, aux frais de négociation et de conclusion de contrats et aux frais de spécification des contrats (liés à l'incertitude sur l'avenir) Cout pour chaque transaction donc tendance à augmenter. (Attention : rien à voir avec Couts de production liés à la présence ou l'absence d'éco d'éch, divergences de prix de revient et prix de marché ) Réduction des couts de transaction si coordination des facteurs à l'intérieur de la firme remplace transaction par le marché, donc contrat de LT remplacerait les séries de contrats de CT (renégociation perpétuelles et incertitude). [...]
[...] Autre approche : établir des relations complexes avec d'autres firmes. Eco = science du contrat. Le dilemme hiérarchie marché et l'analyse transactionnelle de la firme Courant de COASE (avant COMMONS, KALDOR, ROBINSON et après avec ALCHIAN, DEMSETZ, RICHARDSON, WILLIAMSON) : en rupture avec la théorie NC (firme = fonction de production). WILLIAMSON : pourquoi et comment une firme s'organise pour être plus efficace dans ses rapports avec l'environnement ? Les coûts de transaction et la coordination entrepreneuriale COASE : pourquoi les entreprises existent- elles ? [...]
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