Production, matière première, transformation de matière, marchandise, besoin, production marchande, production non marchande, production payante, production non payante, facteur de production, taux de chômage, financement, investissement, PIB Produit Intérieur Brut, Pôle Emploi, URSSAF Union de Recouvrement des Cotisations de Sécurité Sociale et d'Allocations Familiales, FNCF Formation Nette de Capital Fixe, FBCF Formation Brute de Capital Fixe, effet de levier, révolution industrielle, Joseph Schumpeter, secteur primaire, secteur secondaire, secteur tertiaire, taux marginal de substitution, fonction de production, productivité, rendement, productivité du travail, Fordisme, Taylorisme, Fréderick Winslow Taylor, croissance économique, Toyotisme, concept des 5 zéros, coût de production, chômage, chômage d'exclusion, chômage de longue durée, chômage d'insertion, évolution du chômage, population active, taux d'endettement, taux d'activité
La production, c'est la transformation de matière première en marchandise pour satisfaire un besoin. Cependant, tout ce qui satisfait un besoin n'est pas forcément une marchandise (ex : l'air). La production peut être marchande ou non marchande, payante ou non payante. Environ 20 % de la production globale est non marchande. Pour la produire, il faut des facteurs de production.
[...] Il faut que le produit et la marchandise soient impeccables. Zéro panne : les machines doivent être régulièrement entretenues. Zéro stock : on travaille à flux tendu en répondant immédiatement à la demande. Ici ce n'est plus la production qui répond à la demande, mais la production qui s'adapte à la demande. Zéro papier : limitation maximum des formalités administratives. La rupture entre le fordisme et le toyotisme est le juste à temps, car il faut produire juste à temps en répondant le plus juste possible à la demande. [...]
[...] Permet d'améliorer la productivité des facteurs. Il est apparu que le progrès technique est au cœur du développement économique et du développement du capitalisme. Joseph Schumpeter, 1883-1950. Les révolutions industrielles ont permis aux sociétés occidentales agricoles de devenir industrielles (ex. : la vapeur, le textile . La 2[ème] révolution industrielle : L'électricité, le chemin de fer . ont permis le développement économique. Le progrès technique a eu beaucoup d'influence sur plusieurs secteurs d'activité, donc a diminué certains emplois dans un secteur et les a augmentés dans un autre. [...]
[...] Fixe : Le capital fixe étant l'ensemble des biens qui serviront au cours de plusieurs processus de productions (équipement, machine . ) l'ensemble des biens correspond à l'ensemble des biens de production. Ils ne disparaissent pas. Circulant : Le capital circulant représente des biens qui disparaissent rapidement dans le processus de production détruit (ex. : essence) ou transformés (ex. : arbre en feuille). Le capital variable et constant Variable : Le chef d'entreprise va investir du capital, embaucher des employés (capitale variable) qui se définissent comme le capital qui est investi pour embaucher la force de travail. [...]
[...] Enrichissement des tâches, en plus de faire l'opération standard, il faut contrôler la machine. Donner beaucoup plus d'autonomie aux travailleurs qui travaillent en semi-autonomie. Les ouvriers sont donc responsabilisés. Il y a donc moins de panne, moins de retours de clients et moins de conflits. Cela implique qu'il faut parvenir à l'excellence d'où la politique des 5 zéros : Zéro délai : réduire au maximum le temps de production, répondre à la demande rapidement. L'ouvrier doit donc s'adapter. Zéro défaut : la qualité doit être irréprochable. [...]
[...] Aucune activité ne doit être inutile. FORD, le fordisme en générale, propose un développement considérable des machines et un approfondissement de la parcellisation du travail, la ligne de montage permet de relier les hommes et les machines. Le travail peut se généraliser de telle sorte que l'usine travaille sans arrêt, en permanence. Le deuxième principe est la standardisation de la production, on a donc une production en grande série, les pièces sont interchangeables. Le troisième principe est l'augmentation du pouvoir d'achat des ouvriers, pour accroître la demande de biens de consommation (les ouvriers sont donc payés par jour five dollars a day ; c'est la formule du fordisme par l'excellence), car avant ils étaient payés deux fois moins qu'aujourd'hui. [...]
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