Méthode de production, concurrence, monopole, équilibre du marché, surplus du producteur
Le producteur a pour objectif comme le consommateur de déterminer la combinaison productive en comparant le montant d'output qu'il peut obtenir, et le coût de production. Comme pour le consommateur, le producteur va comparer les courbes d'isoproduits avec sa contrainte budgétaire.
Ici la contrainte est de coût, de coût de production. Pour déterminer cette contrainte de budget, on va calculer le coût de la production, c'est-à-dire le coût des facteurs utilisés pour produire. Le producteur utilise deux biens de production : le capital K et le travail L; Et paye pour obtenir ces facteurs de production, un certain prix, on note le prix unitaire du capital, PK et celui du travail, PL.
[...] Le producteur va choisir cette seconde possibilité, ce qui signifie que dès qu'il peut modifier sa structure de production, le producteur va le faire. Dans le long terme, le producteur va avoir une fonction de coût total qui représente, l'ensemble des possibilités de production les plus avantageuses. Par conséquent, la courbe de coût de long terme, va se construire à partir des courbes de coût de court terme et en tenant compte du faite que le coût de production doit toujours être le plus faible possible. [...]
[...] C'est le prix qui assure le prix moyen. Si le profit = le prix 4. Le surplus collectif sur un marché concurrentiel Le surplus des producteurs correspond à la différence entre le prix, la somme que reçois l'entreprise lorsqu'elle vent une unité de bien et le coût marginale qui représente la somme que souhaite recevoir l'entreprise pour produire une unité de bien. Le surplus du consommateur correspond à la différence entre le prix et l'utilité marginale ou la disposition marginale à payer. [...]
[...] ∏1=p(Y1+Y2).Y1 + CT(Y1) Y2=g(Y1) ∏1=p(Y1+g(Y1)).Y1 + CT(Y1) Il décide de produire une certaine quantité. Cette situation de leader de stackelberg est meilleure que la précédente. Mais aussi meilleure que sa situation dans un duopole de Cournot. Les quantités produites dans la situation actuelle sont meilleurs que celle de la situation de cournot Y2 FR(2) FR(1) Y2S* 0 Y1S* Y1 ∏2=p(Y1S*+Y2).Y2-CT(Y2) Y2=g(Y1S*) On a utilise le duopole de Stackelberg pour modéliser des interactions par forcément économique. En particulier pour modéliser des interactions sur la route. Ce duopole correspond à un jeu dit du carrefour. [...]
[...] Le surplus n'est pas une somme que le producteur reçoit effectivement, c'est ce que l'on nomme un gain de productivité. C'est le gain qu'il réalise du fait que ca production lui coûte moins que sa vente. Le consommateur paye toujours le même prix. Mais le prix que le consommateur est prêt à payer diffère selon la journée. Cet écart représente le surplus du consommateur. Partie 3 : Les équilibres du marchés Un marché est constitué d'un ensemble d'individus en interaction pour acheter ou vendre des biens. Il existe plusieurs types de marchés. [...]
[...] = RT RT = p.Y p =prix de vente des produits, Y les quantités de produit Le coût total est : KpK + LpL Donc p.y (KpK + LpL) Le profit est maximum quand les dérivées partielles s'annulent. Dans cette écriture du profit, il y a 3 variables Le prix de vente du produit peut être sur certains marchés donnés et sur d'autres variables. Le prix est considéré comme variable si l'entreprise est en situation de monopole. En situation de concurrence, l'entreprise n'a aucune influence sur le prix, le prix est donné. Si nous nous plaçons en situation de concurrence deux formules sont possibles. [...]
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