L'histoire économique a toujours été ponctué par des crises (crises agricoles avec une économie axée essentiellement sur ce secteur - en cas de sécheresse ou de gel, mauvaises récoltes entraînant des famines, ce qui se répercute sur le marché de l'emploi...).
Il faut attendre le vingtième siècle pour que le rôle de l'Etat et la responsabilité humaine soient mobilisés - action organisée envisagée (première action dans les années 1930) (...)
[...] De plus, le financement des dépenses publiques par prélèvement obligatoire élève les coûts des entreprise et diminuent encore leur compétitivité en ce qui concerne le prix. Enfin, en stimulant la croissance, la politique de relance augmente les importations d'autant plus fortement que les entreprises locales sont insuffisamment compétitives. C'est pourquoi avec cet ensemble de données, le commerce extérieur se dégrade et le chômage ne baisse pas. Les politiques structurelles à l'origine des rigidités ? Elles provoquent des rigidités sur les marchés et perturbent de ce fait l'allocation des ressources. Par exemple, la fixation du salaire minimum nuit au rétablissement de l'équilibre du marché du travail. [...]
[...] De plus, les ressources fiscales de l'Etat vont diminuer puisque l'action économique diminue. Cette idée a été théorisée par Laffer trop d'impôt tue l'impôt Par la création monétaire. Dans ce cas, l'inflation prend son envol et ruine les titulaires de revenus fixes (salariés, pensionnaires, retraités), réduis à la compétitivité des entreprise et diminue la confiance des agents économiques dans la monnaie. La montée des prix a tendance à décourager l'épargne et l'investissement. Cette approche est théorisée par Fredman ainsi que les monétaristes et les auteurs de la nouvelle école classique. [...]
[...] Les agents économiques rationnels anticipent que l'Etat augmente les impôts dans le futur pour rembourser sa dette et accroissent immédiatement leur épargne pour faire face à l'augmentation des prélèvements obligatoires à venir. La consommation diminue alors, ce qui annule l'effet de relance visé par les pouvoirs publics comme l'aurait fait un prélèvement fiscal supplémentaire immédiat. La question de la légitimité et de l'efficacité des politiques économiques En dénonçant le manque d'efficacité des politiques économiques, la théorie libérale remet en cause leur légitimité. [...]
[...] On peut aussi observer une moindre incitation à innover des entreprises, puisque leurs débouchés nationaux sont assurés. L'inefficacité des dépenses publiques Quelque soit leur nature (conjoncturelle ou structurelle), les politiques économiques se traduisent par une augmentation des dépenses publiques et contribuent à creuser le déficit budgétaire des Etats. Dès lors, leurs bienfaits vont être réduits quelque soient les moyens choisies pour les financer. Il peut être assuré par une augmentation des prélèvements obligatoires. Si la pression fiscale devient trop importante, elle aura des effets négatifs sur le travail et l'investissement. [...]
[...] Il y a donc interdiction de rapprochement entre entreprises (OPA, fusion ) lorsque ces dernières a une part de marché trop importante (électricité, gaz, eau, infrastructures ) L'existence d'externalités positives ou négatives peut se traduire par l'existence d'un écart entre le coût et le bénéfice privé ainsi que le coût et le bénéfice public. On observe que l'optimum individuel ne coïncide pas avec l'optimum social. Pour limiter ces inconvénients, l'économiste Pigou propose que l'Etat mette en œuvre une politique fiscale qui conduit à la taxation des agents économiques à l'origine d'externalités négatives et à la subvention des agents dont l'activité s'accompagne d'externalités positives. Dans certains pays, on a ainsi appliqué le principe de pollueur payeur. [...]
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