Monnaie economie keynes ricardo smith
De quelle monnaie a besoin le capitalisme pour fonctionner ?
Avec quelles institutions a-t-on accepté de s'affranchir ?
L'activité économique a toujours existé, mais la place de l'économie n'a pas toujours été la même : elle est toujours subalterne.
Pour Aristote : « l'économie est un art de gouverner un hôtel et les appartenances pour acquérir les richesses » : administration des biens et sphère privée.
Pour Voltaire : « l'économie ne signifie que la manière d'administrer ces biens » (pas de pratique différente entre les individus) : libéraliste, sphère privée.
[...] L'UE se caractérise par un pli rentier (qui ne s'accompagne pas de croissance. Le modèle de solidarité donne des déficits quand il n'y a pas de croissance. Les dettes extérieurs de l'État : Par convention le FMI est chargé d'en être dépositaire. Cette dette se composait de bons du trésor à vue sans intérêt, détenus pour beaucoup par le FMI. Depuis une 10e d'année, il existe un marché actif des bons du Trésor négociables. Cela ouvre les investissements étrangers par OMC. Les non-résidents détiennent des montants appréciables et variables sous forme OAT. [...]
[...] Par conséquent toute critique de la consommation va être critique de l'épargne. Il a toujours le problème du revenu transitoire qui touche aussi à l'épargne Il existe plusieurs débats autour de cette fonction. Les relations épargne devenues l'hypothèse du revenu absolu (Rdt) Kuznets observe une relation en épargne et le revenu, mais observe des relations constantes. Pour mesurer cette relation f(Rd) on peut l'approcher par : L'épargne et le PIB : Pour 16 pays d'Amérique Latine, la relation entre épargne et le PIB en moyenne propension marginal est égaux a la propension marginale quelquefois inférieure à la propension moyenne la propension moyenne est stable en 1950 et 1964. [...]
[...] 1ere doctrine prudentielle : utiliser les dépôts a vue pour les prêteurs à court terme. Gérer les dépôts des clients et financer la croissance types d'action : banque de dépôt ou banque d'affaires. Loi du 2-12-1945 : nationalisation et distinction entre les banques de dépôts, d'affaires et de crédits. o Banque de dépôt : reçoivent du peuple des dépôts a vue ou des dépôts dont le terme maximum est de 2 ans. Ces banques ne peuvent détenir des participation dans les entreprise de plus de (à cause risque de rivalité avec les banques d'affaires). [...]
[...] Seuls les actionnaires les plus importants on le droit de vote. Cette BC fonctionne comme un institut d'émission et c'est une banque ordinaire qui ne possède pas le monopole de l'émission. Jusqu'en 1870, elle ne possède aucun plafond d'émission. En 1928 une loi exige un plafond minimal pour l'émission d'or (les crédits) et l'engagement de la banque. De 1936-1945 Augmentation du contrôle de l'État sur la banque centrale. 24-07-1936 : nationalisation par le Front populaire. On peut même parler de démocratisation, tous les actionnaires obtiennent le droit de vote, le conseil passe de 15 à 23 membres dont deux désignés par les actionnaires et les autres par l'État = étatisation 2-12-1945 : libération du conseil national de la résistance = nationalisation. [...]
[...] Elles peuvent recevoir les dépôts pour un terme supérieur à 2 ans : la réforme de 1966 supprime ce cloisonnement afin de définir une banque universelle. Les modifications sont : L'État voulait se retirer de certains crédits de financement. Le manque de capitaux long. Il fallait permettre aux banques d'affaires d'accéder plus facilement au crédit d'affaire. Le nouveau cadre réglementaire est donc là pour assouplir la loi de 1945 en : o Unifiant des conditions de collecte des dépôts. o En augmentant les capacités de dépôts à prendre des participations (actions). [...]
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