Penser le travail, rationalisation du travail, Taylor, Ford, Révolution Industrielle, facteur humain, entreprise, Crozier et Friedberg
Les gens ont envie d'entreprendre. Une majorité des personnes travaillent contrairement aux siècles antérieurs. Le travail est revalorisé et généralisé. Le XIXe siècle est aussi une période durant laquelle les gens croient fortement en la science (rationalité). La production nationale devient un moyen d'exalter une fierté nationale, mais des contestations, une méfiance naît parallèlement : la peur de la machine. En effet on craint une source d'asservissement, du développement des inégalités, de cette nouvelle classe ouvrière, des antagonismes sociaux. On voit aussi apparaître des utopies sociales (ex : liberté de la presse) et aussi l'utopie des phalanstères (Godin crée à côté de son entreprise un familistère où les ouvriers vivent en communauté et dans des conditions relativement plus élevés que dans la plupart des foyers.
[...] Un groupe formel dans une entreprise est un groupe délimité par les ouvriers d'un secteur, d'un atelier . Un groupe informel se forme à partir des affinités, des relations Cela ne sont pas reconnus et pourtant aussi important sinon plus que les groupes formels. Coexistence de deux organisations dans l'entreprise L'organisation formelle : basé sur des textes, (exemple : règlement dans l'entreprise, statut . ) Elle a des buts explicites : produire toujours plus et distribuer des récompenses matérielles (dividendes, salaires). [...]
[...] La voiture devient alors un bien beaucoup plus démocratique ! L'aspect scientifique revient à Taylor. La prospérité promise par Taylor est au rendez-vous au moins dans le management. C'est un grand succès en Amérique du Nord et en Europe de l'Ouest. Les grandes entreprises qui optent à la mise en place de ces réformes en profitent largement. C'est l'industrie de l'automobile, de textile qui en profite mais aussi de l'administratif. Certains salariés dès 1917 aux USA déclare la grève pour interdire l'accès du chronomètre. [...]
[...] Taylor en bon ingénieur voit l'entreprise comme une machine. L'approche de Taylor reste incontournable malgré ces critiques. Le facteur humain L'école des Relations Humaines : les expérience de la western electric Elle prend pied sur l'expérience : 1924, près de Chicago, le taylorisme étant intégré dans de nombreuses entreprises. On commence à se préoccuper de l'ergonomie. Se développe un mouvement : les relations humaines qui s'intéresse à l'influence des conditions de travail et de l'environnement physique et matériel sur le travail. [...]
[...] Mais aussi des évolutions démographiques : exode rural et urbanisation, ou encore des évolutions culturelles et idéologiques. En effet c'est la montée de l'esprit d'entreprise, le développement des valeurs d'entreprenariats. Des figures telles que les capitaines d'industrie ou les créateurs remplacent les rentiers d'avant Les gens ont envie d'entreprendre. Une majorité des personnes travaillent contrairement aux siècles antérieurs. Le travail est revalorisé et généralisé. Le XIXè siècle est aussi une période durant laquelle les gens croient fortement en la science (rationalité). [...]
[...] Mais elle attribue un bilan mitigé : Le taylorisme pose plus de problèmes sociaux qu'il n'en résout dit la Commission. Critique de l'homme au travail. Taylor est critiqué pour une approche réductrice du salarié (un individu isolé sans lien social, ni affectif). On le considère comme doté d'une psychologie pauvre. Le salaire est le seul moyen de le motiver. Taylor sait que le groupe est important mais il sait aussi que les résistances naissent souvent d'un mouvement de groupe. Il tente donc de le couper de cette vie sociale. Critique sur la conception du travail : Intensification du travail. [...]
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