L'économie politique est une science sociale qui étudie l'effort solidaire et organisé des hommes pour satisfaire les besoins qu'ils éprouvent et cela en allouant de façon optimale des ressources rares entre des emplois alternatifs. C'est-à-dire que la science économique essaie de réduire la tension qui existe entre désirs illimités et des moyens limités. Pas d'économie sans effort. L'effort sert à accroître nos moyens donc à assouvir nos désirs. L'effort principal c'est le travail. La société capitaliste a pour objectif d'essayer de satisfaire les désirs des hommes (...)
Sommaire
Chapitre introductif
I) Définition
A. Définition étymologique B. Définition analytique C. Définition de l'économie par son objet
II) Économie politique ou sciences économiques ?
A. Qu'est-ce qu'une science ? B. Économie normative ou économie positive
III) Les besoins humains
IV) La rareté et les biens économiques
A. La théorie des 2 raretés B. Les biens économiques C. Les choix en présence de rareté
V) Le circuit économique : la distinction entre micro et macro économie
A. Les agents économiques B. Le circuit économique C. L'activité économique nationale D. La distinction entre micro et macro économie
Chapitre 1. Condensé d'histoire de la pensée économique
Section 1. La naissance de l ?économie politique (1450-1750)
I) La doctrine mercantiliste
A. Définition B. Interventionnisme et nationalisme économique C. Les différentes formes de mercantilisme
II) Les thèses monétaires du mercantilisme
A. La nature de la monnaie (Loi de Gresham) B. Le principe de rééquilibrage automatique de la balance des paiements C. Le mécanisme de la circulation monétaire (problème de l'inflation)
Section 2. L'émergence du libéralisme : la physiocratie et l'économie classique (1750-1850)
I) La physiocratie
A. Quesnay et le tableau économique B. Forces et faiblesses du tableau économique C. La conception de l'ordre social naturel
II) L'économie classique
A. La pensée économique d'Adam Smith B. Les classiques anglais C. Les classiques français
Section 3. Les écoles socialistes
I) Les 1ers constructeurs de la doctrine socialiste
A. Le communisme naturaliste et l'idéalisme social B. Les réactions contre la pensée classique anglaise
II) Le socialisme utopique
A. Le socialisme associationniste (Fourrier) B. Le socialisme technocratique (St Simon) C. Le socialisme anarchiste (Proudhon)
Chapitre 2. Premiers éléments de théorie économique
Section 1. La problématique de la production
I) Les facteurs de production
A. Le facteur travail B. Le facteur capital C. Le facteur naturel D. Le facteur entreprise
II) L'organisation de la production
A. Les systèmes économiques B. Les systèmes antagoniques C. La question de l'évolution des systèmes
Section 2. Les mutations du système productif
I) La concentration et le progrès technique
A. La concentration B. Les transformations du système technique
II) La mondialisation
Chapitre introductif
I) Définition
A. Définition étymologique B. Définition analytique C. Définition de l'économie par son objet
II) Économie politique ou sciences économiques ?
A. Qu'est-ce qu'une science ? B. Économie normative ou économie positive
III) Les besoins humains
IV) La rareté et les biens économiques
A. La théorie des 2 raretés B. Les biens économiques C. Les choix en présence de rareté
V) Le circuit économique : la distinction entre micro et macro économie
A. Les agents économiques B. Le circuit économique C. L'activité économique nationale D. La distinction entre micro et macro économie
Chapitre 1. Condensé d'histoire de la pensée économique
Section 1. La naissance de l ?économie politique (1450-1750)
I) La doctrine mercantiliste
A. Définition B. Interventionnisme et nationalisme économique C. Les différentes formes de mercantilisme
II) Les thèses monétaires du mercantilisme
A. La nature de la monnaie (Loi de Gresham) B. Le principe de rééquilibrage automatique de la balance des paiements C. Le mécanisme de la circulation monétaire (problème de l'inflation)
Section 2. L'émergence du libéralisme : la physiocratie et l'économie classique (1750-1850)
I) La physiocratie
A. Quesnay et le tableau économique B. Forces et faiblesses du tableau économique C. La conception de l'ordre social naturel
II) L'économie classique
A. La pensée économique d'Adam Smith B. Les classiques anglais C. Les classiques français
Section 3. Les écoles socialistes
I) Les 1ers constructeurs de la doctrine socialiste
A. Le communisme naturaliste et l'idéalisme social B. Les réactions contre la pensée classique anglaise
II) Le socialisme utopique
A. Le socialisme associationniste (Fourrier) B. Le socialisme technocratique (St Simon) C. Le socialisme anarchiste (Proudhon)
Chapitre 2. Premiers éléments de théorie économique
Section 1. La problématique de la production
I) Les facteurs de production
A. Le facteur travail B. Le facteur capital C. Le facteur naturel D. Le facteur entreprise
II) L'organisation de la production
A. Les systèmes économiques B. Les systèmes antagoniques C. La question de l'évolution des systèmes
Section 2. Les mutations du système productif
I) La concentration et le progrès technique
A. La concentration B. Les transformations du système technique
II) La mondialisation
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Extraits
[...] On améliore la productivité des hommes. Il n'entraîne pas la fermeture de l'entreprise, au contraire. _ Chômage conjoncturel, plus dangereux car il s'agit de fermeture d'entreprises et donc d'une perte de croissance économique, pertes d'emplois. _ Chômage dit structurel qui s'explique par les rigidités administratives et sociales du marché du travail. _ Chômage frictionnel qui s'explique par l'inadaptation des offres aux demandes. Selon l'intensité du chômage, on parle de chômage total (perte totale d'activité), de chômage partiel (baisse d'activité), chômage technique (les gens ne travaillent pas mais sont payés quand même). [...]
[...] L'économie politique est l'art de gouverner la cité (polis en grec). Définition analytique L'économie politique est une science sociale qui étudie l'effort solidaire et organisé des hommes pour satisfaire les besoins qu'ils éprouvent et cela en allouant de façon optimale des ressources rares entre des emplois alternatifs. C'est à dire que la science économique essaie de réduire la tension qui existe entre désirs illimités et des moyens limités. Pas d'économie sans effort. L'effort sert à accroître nos moyens donc à assouvir nos désirs. [...]
[...] En revanche, les désirs sont illimités. La raison d'être et le but des activités économiques se concentrent dans la recherche de la satisfaction des besoins et des désirs. Les besoins ont 3 principaux caractères : _ La multiplicité de manières de satisfaire le besoin _ La saturabilité, c'est à dire que l'intensité d'un besoin unique considéré isolément des autres besoins diminue au fur et à mesure qu'il reçoit satisfaction _L'interdépendance entre certains biens économiques, c'est à dire que certains biens économiques ne prennent leur sens que quand ils sont associés à un autre bien économique, par exemple le carburant et la voiture. [...]
[...] Pas de réponse. Il y a un problème de passage de la micro à la macro analyse, y a-t-il un pont entre ces 2 phénomènes ? Pour illustrer la micro, on utilise la métaphore de l'arbre et de la forêt. L'analyse micro économique consiste à expliquer les comportements individuels. L'analyse macro économique s'intéresse principalement aux variables agrégés de l'économie nationale. Cela conduit à l'étude des produits intérieurs qui donnent naissance au calcul de la croissance. La macro s'intéresse aussi à des thèmes comme le chômage. [...]
[...] Pour Smith, l'homme a des instincts contradictoires qu'il doit maîtriser. Il a des instincts qui le poussent à rechercher sa conservation et son expansion (instincts égoïstes de défense). Il y a l'instinct de conquête ou de jouissance, un autre faisceau d'instinct attire l'homme vers ses semblables, instincts altruistes. Selon Smith, l'instinct altruiste est un principe de sympathie, un principe de bienveillance. Il essaie de solutionner la rencontre des instincts égoïstes et Smith va dire que la société est essentiellement constituée d'échanges de services entre les individus, mais en même temps, il soutient aussi que l'ordre social repose sur la tendance naturelle à admirer les richesses. [...]