Partage de la valeur ajoutée, partage des profits, NINJA No Income No Job no Asset, inégalités de partage, crise financière de 2008, bulle immobilière, partage de la richesse
Le partage de la richesse, déterminé des taux de marge dans l'entreprise pour investir et les salaires vont impacter la consommation finale des ménages. Si on demande aux entreprises d'augmenter les salaires et de réduire le temps de travail, il va y avoir un problème à un moment. Cela s'appelle le populisme (travailler moins pour gagner plus). La priorité est de faire des gains de productivité et ensuite de discuter des salaires.
[...] Le partage va donc dépendre des relations entre les patronats et les syndicats. La fixation des salaires dépend beaucoup de la situation économique. Décomposition de la part des salaires (évolution du taux de marge): EBE/VA= 1-(WL/VA)-(tc.WL)/VA La valeur ajoutée à quelques choses près il s'agit du PIB du PIB). Le PIB est un montant en milliards d'euros en France. On peut donc écrire que la valeur produite = prix * quantités. On peut noter ``valeur'' : VA ; : Pva ; ``quantité'' : Qva. [...]
[...] La performance est la productivité horaire. La productivité du travail dépend de la productivité horaire et le nombre d'heures travaillées par chaque personne. Avant 1999, la moyenne était de travailler 39h, mais il était dit que l'économie ne pouvait pas donner assez de travail pour tout le monde, donc baisser le temps de travail devait obliger à embaucher plus. Mais en 35h on produit moins de marchandises qu'en 39h. Mais avec les 39h, on était payé pour les 39h. Aujourd'hui, on ne travaille que 35h et on reste payé pour 39h. [...]
[...] On observe sur ce graphique que la part des profits a baissée quand la droite était au pouvoir. C'était les gouvernements de Mitterrand (gauche) à partir des années 80, que l'on avait pour la première fois un gouvernement socialiste au pouvoir. La population s'attend à de nombreuses mesures en faveur des salariés. La semaine de 35h et les 5 semaines de congés payés sont votés. Mais on se rend compte que tous ces ``cadeaux'' coutent cher et plombent l'économie. Un des premiers à se rendre compte de cela était MOROI, ancien maire de Lille. [...]
[...] Plus le prix du mobilier baisse, plus les ménages sont insolvables car même après la revente, les ménages n'ont pas assez pour rembourser leurs crédits. Le problème vient du fait que l'on a accordé trop de crédits sans faire attention. De plus on a poussé les ménages dits pauvres à s'endetter pour améliorer leurs conditions de vie. En France, on a observé le même problème avec l'augmentation des crédits à la consommation. On fait croire à des foyers avec des salaires faibles qu'ils peuvent avoir le même train de vie que les foyers à hauts revenus. [...]
[...] A partir de 82, on observe une remontée en flèche des profits. Les salaires ont été bloqués et la productivité du travail a augmenté. C'est ce qu'a décidé la gauche dans les années 1980. C'est la raison pour laquelle le parti communiste a quitté le gouvernement. Le taux d'investissement baisse également beaucoup car les entreprises investissent moins, la croissance en est donc impactée et les salaires sont touchés. On remarque qu'au moment où la part des profits remonte, le taux d'investissement remonte. [...]
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