Les nouvelles classiques sont les dépendants de l'économie keynésienne. L'oeuvre fondamentale se transforme :
- Ce qui est commun entre les deux c'est qu'il n'y a pas d'ajustement par la variation des prix. Le marché ne peut pas se réguler seulement par les prix. Alors quand il y a des chocs, ils se traduisent par les effets réels sur la production et sur l'emploi mais pas sur les prix.
- Les déviations de la production et de l'emploi par rapport à l'équilibre sont importantes et peuvent se prolonger (...)
[...] Le système bancaire joue un rôle de permission de dépenses prévisionnelle des entreprises. Il faut cette demande de crédit qui correspond à l'investissement pour avoir de profit. Les banques prêtent de l'agent à des entreprises pour les investissements. Si les investissements sont rentables, la création de monnaie a crée donc une richesse. Sinon la monnaie perd de valeur d'où il s'agit d'une inflation. En comparant le circuit classique et le circuit keynésien : Le circuit classique La production la répartition la dépense Le circuit keynésien : La monnaie joue ici un rôle de création de richesse Banque Ménage Entreprise II L'incertitude, la monnaie et l'emploi : La force de demande keynésienne toujours présente A L'incertitude Pour les keynésiens, l'avenir est l'incertitude. [...]
[...] Les entreprises doivent inciter les salariés de travailler par les primes. - Le modèle insider-outsider : Lorsque le niveau d'emploi est bas, les chômages peuvent exercer une pression de baisse de prix chez les entreprises. Aujourd'hui cette théorie n'est plus valable. II Les implications de politique économique : Les analyses sur la rigidité des salaires et des prix débouchent sur l'explication des dysfonctionnements de l'économie de marché. L'économie ne parvient pas à cet équilibre. Les auteurs plaident pour des réformes qui accroîtraient la flexibilité de salaires et de prix. [...]
[...] C'est un postulat à la démonstration. I Propositions et caractéristiques centrales de la nouvelle économie keynésienne : Les classiques et les nouveaux classiques ont critiqué la flexibilité de prix et de salaire. Dans les années 90, on a tenté d'établir la rigidité de salaire et de prix parce que : - Il y a une inertie des grandeurs qu'il y avait des équilibres macro- économiques - Les hypothèses de rationalité. La rationalité des individus font que le salaire et le prix ne peuvent pas baisser ou augmenter. [...]
[...] Elle offre une prime de liquidité. C'est-à-dire elle est mobilisable. Elle a une élasticité de production nulle. Elle ne peut pas être induite de la production. Elle présente une élasticité de substitution nulle. Ces caractéristiques de la monnaie justifient l'insuffisance de la demande effective. Une hausse de besoin de l'agent (une demande de liquidité) n'entraîne pas une hausse de demande de travail. En revanche, l'augmentation de demande de monnaie entraîne la baisse des demandes des autres biens donc la demande globale. [...]
[...] La rigidité de prix : Si le changement de prix ne comportait aucun coût et si l'absence d'ajustement de prix avec des conséquences importantes sur les profits alors on devait s'attendre à une flexibilité de prix. Lorsque les prix baissent, on peut avoir une variation des ventes. Mais lorsque qu'il y a une variation de production, l'entreprise ne va pas changer de prix pour plusieurs raisons : - Il y a des coûts à ajuster des prix (changement de l'étiquette, de menu . Il est plus avantageux de maintenir un prix stable. - L'absence de la fidélité de clients Il y a une rationalité à ne pas changer de prix chez les individus. [...]
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