Epargne, dette publique, épargne française, consommation, inflation
Lorsque l'on a un revenu, la première réaction logique consiste à consommer, une fois les impôts payés tout ce qui reste sera consommé, la seule question est de savoir quand. Le choix se pose entre une consommation immédiate ou une consommation future et c'est cette conso future que l'on appelle l'épargne. Quand on épargne, ce n'est pas comme un don, on met de l'argent de côté pour une opération ou par précaution.
Cet arbitrage est un arbitrage dans le temps, à quantité équivalente il préfère une consommation immédiate qu'une consommation future pourquoi ? D'abord parce qu'il y a dans toute opération future un côté incertain, ensuite on peut avoir une hausse des prix d'une inflation. La consommation immédiate est certaine et en général moins chère. Plus généralement l'horizon des ménages fait qu'il y a une certaine dévalorisation du futur, qu'à quantité équivalente on préfère achat immédiat.
[...] Donc l'inflation a poussé les français à consommer plus. Ce qu'on appelle les prélèvements obligatoires, ils ont progressé. Plus les impôts sont élevés plus les revenus sont faibles. Il y a un désajustement qui ce produit entre une épargne qui a diminué d'un tiers et un besoin de financement qui a augmenté il y a toujours les besoins des ménages, des entreprises, et du secteur public. Il y a là un problème majeur qui est la question du financement des investissement productif. [...]
[...] On considère au fond que ce taux d'intérêt c'est ce qu'on appelle un cout d'opportunité c'est le prix de quelque chose qui n'a pas de prix c'est-à-dire le manque à gagner. Quand on conserve de l'argent non placé on se prive du taux d'intérêt, de même lorsque l'on consomme. (Coût d'opportunité) L'explication keynésienne, l'épargne résidu après consommation lié aux revenus. Dans le monde keynésien, ce qui est premier, qui est la décision quasi unique, c'est la consommation et la consommation pour Keynes est lié au revenu. La consommation est l'acte économique conscient par excellence, l'épargne c'est ce qui reste après avoir consommé. Pour Keynes, l'épargne est essentiellement une décision passive. [...]
[...] Effondrement de la production, des revenus et de l'augmentation des impôts. Les gouvernements se sont lancés dans les politiques Keynésienne de relance 2008 et 2009 c'est le grand retour de Keynes par la demande globale c'est-à-dire la relance par la dépenses public (grand travaux de toutes sortes) et les plans de relance se sont traduits par une explosion des dépenses publics on est à de déficit public. On a ce phénomène majeur du déficit public explosif or les français même sans avoir fait d'analyse économique ont compris l'équivalence Ricardienne, il explique que l'on finance les dépenses publiques en augmentant les impôts on qu'on qu'il emprunte, ça ne change rien parce qu'il faudra rembourser ces emprunts et donc tout le monde sait très bien que ça veut dire plus d'impôts. [...]
[...] L'explication néoclassique, l'épargne sacrifice de consommation lié au taux d'intérêt. En effet lorsque l'on a un revenu, la première réaction logique consiste à consommer, une fois les impôts payés tout ce qui reste sera consommé la seule question est de savoir quand. Le choix se pose entre une consommation immédiate ou une consommation future et c'est cette conso future que l'on appelle l'épargne. Quand on épargne, ce n'est pas comme un don, on met de l'argent de côté pour une opération ou par précaution. [...]
[...] Définition : possibilité de variation de la valeur d'un capital d'un actif On peut ajouter d'autres éléments il y a la question éthique, moral il ya des gens qui se préoccupe de ce qu'on fait de leur argent. La difficulté c'est qu'aucun placement réunis les trois qualités, les épargnants ont une préoccupation prioritaire ils vont privilégier la liquidité, ou le rendement d'autres aiment le risque. La plupart du temps on procède a une diversification du portefeuille, une partie en liquide, une partie en rendement régulier et une partie en risque et donc on diversifie son patrimoine. Parfois il y a des systèmes qui permettent de diversifier à notre place des fond communs de placement. [...]
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