Quatre formes : la monnaie métallique (or, bronze), le billet, la monnaie divisionnaire (pièces) et la monnaie scripturale ou bancaire. Il n'en existe plus que trois, on n'utilise plus de monnaie métallique. Nos pièces modernes pourraient être en plastique, elles auraient la même valeur. On a des chiffres officiels que pour la zone euro. Avant 2000, les pièces de francs représentaient 1% de la circulation de monnaie, les billets 15% et la monnaie bancaire 84%. Aujourd'hui, pour la zone euro, les pièces et billets représentent 13% (oscillation entre 11 et 17%) (...)
[...] Cette date est le point de rupture. Sur le marché des changes, les monnaies qui composent l'Euro commencent à s'apprécier par rapport au dollar. Les pays participants sont désignés en mai 1998, ils forment alors l'Euro-système. En juin 1998 l'IME devient la BCE. L'Euro est mis en place le 1er janvier 1999 officiellement (en 2002 les billets et les pièces), il devient la monnaie officiel et unique des pays de l'Euro- système (monnaie scripturale). Un Euro valait un Ecu. Chaque monnaie nationale devient une monnaie divisionnaire non décimale. [...]
[...] C'est la faculté pour un actif d'être sans délais et sans perte de valeur transformable en monnaie. Une action est moins liquide, car perte de valeur et délais pour le vendre. Un immeuble l'est encore moins. La monnaie est le plus liquide des actifs. On se pose la question si elle est aussi instrument d'échange. II) La mesure de la quantité de monnaie: les agrégats monétaires Les agrégats monétaires harmonisés de la zone euro La BCE détermine trois agrégats monétaires : L'agrégat étroit l'intermédiaire et le large (M3). [...]
[...] Les mécanismes du SME: il entre en application le 13 mars 1979, sur l'impulsion de la Franc et de l'Allemagne. Il repose sur deux principes: l'écu (european curancy unit), l'unité de compte du SME, c'est très symbolique, c'est une monnaie composite (panier de monnaie, moyenne pondérée de différentes monnaies). Les budgets de la CEE était fait en écu, les subventions étaient versées en écu. Puis les grandes entreprises s'y sont mises. Enfin on a vu apparaître des écus privées (comptes en banque en écus). [...]
[...] Les principaux pays occidentaux s'engagent à soutenir le dollar (vendre l'or pour acheter du dollar et faire monter sa valeur). La France arrête en premier, elle demande à la FED de lui convertir ses dollars en or. En 1971, Nixon refuse la convertibilité, il n'autorisera plus cela de la FED et il laisse flotter le dollar. Le marché des changes libre et sans cours officiel devient la norme. C'est officialisé en 1976, les statuts du FMI sont modifiés, on décide de la fin du GES, toutes les monnaies flotteront entre elles. L'or est démonétisé. [...]
[...] Il n'y a pas un stock immuable de monnaie. Le marché dévalue la monnaie crée en excédent, son prix (son pouvoir d'achat) baisse. Donc cela s'ajuste automatiquement. Pour la currency school cette dévaluation c'est l'inflation. L'argument est juste mais, il suppose que le marché est autorégulateur, quand il baisse trop, le prix ré augmente (car des gens en rachètent). C'est la théorie libérale. Sauf contre exemple de Leman Brother, banque au USA, dont les actifs baissent et que personne ne rachètent, faillite. [...]
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