Monnaie, banque, finance, effet de levier, rentabilité économique, rendement du capital, emprunt, endettement bancaire, EBITDA, amortissement, capital social, valeur comptable, profit brut
L'effet de levier mesure les mécanismes de rentabilité économique et financière des entreprises. Comment les entreprises sont en mesure de rémunérer les capitaux qui leur sont prêtés ? Il y a un lien entre les rendements des titres de dettes et de rendement du capital. Il s'agit d'emprunter à des taux relativement faibles pour ensuite revendre à des taux élevés, le rendement financier est obtenu dans une différence de taux (de prix d'actifs). Le taux le plus bas dans une économie est l'endettement bancaire. Faire de l'effet de levier c'est emprunter des ressources (par des emprunts bancaires par exemple) et valoriser l'actif à un taux élevé.
[...] Monnaie, banque et finance : l'effet de levier L'effet de levier mesure les mécanismes de rentabilité économique et financière des entreprises. Comment les entreprises sont en mesure de rémunérer les capitaux qui leur sont prêtés ? Il y a un lien entre les rendements des titres de dettes et de rendement du capital. L'effet de levier : il s'agit d'emprunter à des taux relativement faibles pour ensuite revendre à des taux élevés, le rendement financier est obtenu dans une différence de taux (de prix d'actifs). [...]
[...] Le solde permet d'équilibrer le compte de résultat. Quand on a équilibré le compte par le solde, quand on veut passer à un autre compte on le prend et le met dans les produits. Ce qui nous intéresse est de différencier la nature du produit susceptible de financer le capital. En macroéconomie CA + Δstock = VP VA = VP – CI VA = W + P Le profit brut est utilisé essentiellement pour l'amortissement Quand une entreprise achète une entreprise, elle l'achète à un prix plus élevé que son bilan, car il y a une différence entre la valeur de l'entreprise au plan comptable et la valeur de l'entreprise sur le marché. [...]
[...] Quelques principes → On lit de droite à gauche. → C'est une comptabilité en partie double, on inscrit les flux réels dans un sens et les flux monétaires. La trésorerie de l'entreprise est à l'actif, quand une somme arrive dans les produits ça augmente les produits ET la trésorerie où ça va s'inscrire en moins et quand on a des charges ça s'inscrit dans les charges en moins ET dans la trésorerie en plus. → Le compte de bilan est toujours équilibré, et le compte de résultat (produits – charges) peut ne pas être équilibré. [...]
[...] L'entreprise peut recevoir des intérêts, les produits financiers sont les intérêts reçus par l'entreprise, car l'entreprise a pu investir. – Les impôts sur les sociétés – Résultat net qui se décompose en deux : • Distribution de dividendes qui est le solde des dividendes versés et reçus • Ce qui reste est autofinancement de l'investissement Les capitaux propres se divisent en deux parties : – Capital social : titres émis sous forme d'actions – Réserves et report à nouveau : l'autofinancement, partie du profit qui n'est redistribué à l'actionnaire et qui permet de financer l'investissement. [...]
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