Adam Smith, David Ricardo, mondialisation, Malthus, États-Unis, Angleterre, France, IDE investissements directs à l'étranger, Allemagne, Meiji, Japon, libre échange, développement des transports, taux de croissance, économie, développement du marché intérieur, politique, intégration monétaire
Le libre-échange n'est pas qu'une question économique, mais également politique qui anime de nombreux débats. Les débats dans les parlements se font entre les économistes, le premier à approcher le débat est Adam Smith. David Ricardo comme son compère défend par la suite l'intérêt du libre échange pour tous les pays. Adam Smith disait qu'une nation devait se spécialiser dans les produits qu'elle réalise mieux que les autres. Ricardo affirme lui qu'une nation doit se spécialiser dans la production de ce qu'elle réalise le mieux. Les enseignements d'Adam Smith et David Ricardo incitent les Anglais à se spécialiser, lorsqu'il développe cette idée de libre échange ils se heurtent à des barrières.
[...] Le fort marché intérieur explique également la place des États-Unis. Les IDE ont aussi beaucoup joué dans la croissance des États-Unis financée par l'épargne du monde, comme le chemin de fer qui est financé par les capitaux étrangers. La FED sécurise leur économie. Pourtant dès 1890, même si les États-Unis reçoivent des IDE, ils en émettent bien plus par rapport à ce qu'ils reçoivent. Durant toute cette période, ils ont effectué une politique protectionniste ce qui ne gêne pas leurs développements économiques. [...]
[...] Le moment où l'on adhère au libre-échange, on s'aligne sur les mêmes conditions d'avantages. Peu à peu, on arrive donc à une unification des droits de douane au plus bas possibles. (Les taxes sont de 25 Pour évaluer les conséquences, les économistes/historiens n'évaluent pas tous, la même chose. Il se contente alors de faire quelques hypothèses, et constate une augmentation des importations surtout dans l'agriculture. On constate également une baisse de revenu des paysans. (La demande intérieure alors se contracte entraînant une baisse des profits industrielle.) Les historiens remarquent que les Anglais et les Français étaient en paix, ils en concluent alors que le libre-échange est facteur de paix. [...]
[...] L'émergence des grandes puissances Bouleversement de la hiérarchie des grandes puissances entre 1820 et La fin de la domination britannique Jusqu'en 1850 le PIB de la Grande-Bretagne est 3fois supérieur à celui des États-Unis et c'est 1,4 fois celui de la France. La grande Bretagne est la plaque tournante des échanges de marchandises ainsi que des échanges financiers, ainsi elle a une grande avance sur les autres puissances européennes. La Grande-Bretagne fournit l'essentielle des investissements directs étrangers (IDE). La Grande-Bretagne est un empire, ils ont sous leur contrôle ¼ de la population mondiale. [...]
[...] La mondialisation - Le libre-échange et l'émergence des grandes puissances I. Le libre-échange Pas à pas vers le libre-échange Le libre-échange n'est pas qu'une question économique, mais également politique qui anime de nombreux débats. Les débats dans les parlements se font entre les économistes, le premier à approcher le débat est Adam Smith. David Ricardo comme son compère défend par la suite l'intérêt du libre- échange pour tous les pays. Adam Smith disait qu'une nation devait se spécialiser dans les produits qu'elle réalise mieux que les autres. [...]
[...] - Débat d'économistes entre David Ricardo et Malthus. Pour Malthus la population croît plus vite que la nourriture disponible, mais s'amorce des années plus tard. Ricardo défend lui le libre-échange (tout le monde gagne, permet une croissance, etc.) alors que Malthus voit que si l'on arrête de protéger le marché de la céréale britannique, les industriels vont avoir recours aux céréales étrangères ce qui pour lui serait la fin de l'agriculture britannique. Selon Malthus cela met en péril l'Angleterre en cas de période de guerre. [...]
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