Le modèle Néo-Classique expliqué sous forme de questions - réponses. 8 pages en économie
1/ Pourquoi qualifie t'on le modèle Néo-Classique de modèle d'Offre ? De manière générale, la loi de Jean Baptiste Say (économiste classique français du 19° siècle, ou loi des débouchés), stipule qu'il ne peut y avoir insuffisance de la Demande globale, Keynes la résumé par une formule : « l'Offre créée sa propre Demande », ce qu'il critique fortement.
[...] Autrement dit, il y a 2 théories des prix dans le modèle macroéconomique Néo-Classique mais le plus souvent on dira que l'inflation est d'origine monétaire. Problèmes et exercices. Maximisation du profit et demande de facteurs de production. fonction de production : = = L'entreprise qui maximise son profit acquiert chacun des facteurs de production jusqu'au point où la productivité marginale de ces facteurs devient égal à leur prix réel. A court terme, la demande de capital est fixe et la demande de travail est fonction du salaire réel. [...]
[...] Cette loi peut-être démontrée dans le cas particulier du modèle Néo- Classique où 3 marchés sur 4 sont représentés. En raison de l'interdépendance des marchés et de la loi de Walras, la réalisation de l'équilibre sur le marché du travail puis du capital et de la monnaie garantie la détermination de l'équilibre du marché : celui des B&S. En effet, puisque le taux d'intérêt réel d'équilibre garantit le partage entre S et I et donc ce qui ne sera pas S sera C on peut considérer que la réalisation de l'équilibre sur le marché de l'S et de l'I assure l'équilibre sur le marché des B&S . [...]
[...] Dans le modèle Néo-Classique, l'Offre globale est verticale, on dit également qu'elle est inélastique. La demande globale est fonction du niveau général des prix, elle est même décroissante. cas : l'économie n'est pas en plein emploi Il peut arriver une situation où l'économie n'est pas au plein-emploi des facteurs. Dans ce cas, tant que les facteurs de productions ne sont pas totalement employés : l'offre globale est croissante du niveau général des prix. Mais une fois atteint , le niveau de plein-emploi des facteurs, c'est-à- dire, lorsque l'économie a atteint son produit potentiel, la courbe d'offre globale devient verticale car cela n'est pas parce que les prix augmentent que les entreprises seront en mesure d'offrir davantage de B&S . [...]
[...] Elles sont price taker tant pour le salaire, que le coût du capital et le prix du bien. Dans le modèle Néo-Classique, l'offre globale est-elle croissante du niveau général des prix ? La demande globale est-elle décroissante ? cas Le modèle Néo-Classique est un modèle d'Offre. C'est également un modèle dichotomique (monnaie n'a pas d'incidence sur les variables réelles de l'économie). Le volume de production y est déterminé par la fonction de production donc par le niveau d'équilibre du marché du travail. [...]
[...] La dérivée est donc la fonction de demande de travail est décroissante du salaire réel. La productivité marginale du travail, accroissement de la production totale consécutive à l'embauche d'un salarié supplémentaire. Elle est donc égale au supplément de production qu'engendre l4utilisation d'une unité supplémentaire de travail. Le salaire réel correspond au salaire nominal divisé par le niveau des prix. C'est en embauchant 7 travailleurs que la firme est certaine de maximiser son profit car en vertu du résultat de la microéconomie, au travailleur : PmL= W/P Pour maximiser son profit, l'entrepreneur recrute jusqu'au niveau pour lequel PmL= W/P , ici, parce que le niveau des prix a baissé, le salaire réel est plus élevé, l'entreprise doit réagir en employant que 4 travailleurs. [...]
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