Microéconomie donnée en économie gestion, cours de 34 pages
Les deux grands domaines de l'économie sont la macro et la micro. Il ne s'agit ni de matières spécifiques ni de théories différentes. Macroéconomie et microéconomie sont a la fois cadre et méthode d'analyse. Le point de départ de l'analyse macroéconomique est constitué par les grands agrégats de l'économie. Il s'agit par exemple de la production nationale, de l'investissement, de l'importation et l'exportation, de l'épargne, du chômage, et également de l'inflation. Les agrégats sont donc des grands ensemble de l'économie (l'agrégat consommation correspondant à la consommation de la totalité des ménages d'un pays). Le point de départ de la microéconomie est l'agent économique c'est-à-dire le consommateur et le producteur. Un consommateur représente une entité de consommation homogène c'est-à-dire le ménage. Le producteur correspond à une unité de production homogène c'est-à-dire l'entreprise qu'elle soit constituer d'un individu ou d'un nombre quelconque d'individu.
[...] La macroéconomie part donc des grands ensembles et la microéconomie part des plus petites unités. Les théories équivalentes peuvent avoir des développements macroéconomiques ou microéconomiques. Actuellement, on a un mouvement de la macroéconomie et de la microéconomie. L'objet de ce rapprochement et de bâtir des théories macroéconomiques avec des fondements microéconomiques. En effet, une théorie macroéconomique sans fondement microéconomique et souvent considéré comme peu robuste ou peut convaincante parce qu'on ne peut pas savoir si elle est cohérente avec les comportements individuels. [...]
[...] Exemple : si on considère une entreprise qui doit creuser une tranchée, l'entreprise peut le faire soit avec une pelle mécanique et un ouvrier, c'est-à-dire beaucoup de capital et peu de travail, soit avec beaucoup d'ouvriers équipés de pelles et de pioches, c'est-à-dire avec peu de capital et beaucoup de travail. Les points A à G représentent les diverses combinaisons de facteurs permettant d'atteindre le même niveau de production. Si on passe de A à B par exemple, cela signifie que l'on substitue du facteur x à du facteur y. [...]
[...] Programme : Objectif : max q sous contrainte : CT : xPx+yPy 11) Résolution a. [...]
[...] Une isoquante correspond au lissage des différentes combinaisons productives (courbe noire sur le graphique précédent). Cela permet en supposant que les facteurs sont parfaitement divisibles d'exprimer la fonction de production sous forme paramétrique et cela permet donc le calcul mathématique. Plus une isoquante est éloignée de l'origine et plus elle représente un niveau élevé de production. Deux isoquantes ne peuvent jamais se couper car cela signifierai au point d'intersection qu'une même combinaison de facteurs donne deux niveaux de productions différentes. [...]
[...] Effet prix : E*1 ( E*2 Effet de substitution : E*1 ( E*3 Effet de revenu : E*3 ( E*2 De E*1 à E*3 l'effet de revenu étant neutralisé (équilibres sur la même courbe d'indifférence), seul joue l'effet de substitution, le rapport des prix est différent, les deux contraintes n'ont pas la même pente. Comme x devient plus intéressant que par la baisse de son prix, et inversement, on une augmentation obligatoire de > et symétriquement, on a une baisse obligatoire de [...]
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