Offre, demande, équilibre, consommateur, élasticités, équilibre du marché, concurrence parfqite, monopole
- Les courbes d'indifférence sont des représentations graphiques des préférences des individus.
- Les individus sont censés être capables de faire un classement entre les différents paniers de biens.
- Pour mieux comparer les degrés de satisfaction tirés de la consommation des différents paniers de bien, on affecte une mesure numérique à chaque niveau de satisfaction.
- On parle alors d'utilité qui représente ainsi la valeur numérique associée à la satisfaction d'un individu consommant un panier de biens.
- Si un panier de bien A est préféré au panier de bien B, la valeur de l'utilité associée à A est plus grande que celle associée à B.
[...] Cela correspond à une augmentation des profits (partie verte de la courbe de profit) A partir de ces deux points, on remarque que l'écart entre les deux courbes se rétrécit petit à petit jusqu'au nouveau point de rencontre des deux courbes. Le profit diminue (partie rouge de la courbe de profit). On peut donc voir que le profit est maximal pour une production égale à correspondant à la distance AB entre les courbe de RT (bleue) et CT (noire) La figure traduit la relation entre la recette marginale et le coût marginal pour la maximisation du profit à court terme. On sait qu'à court terme, l'un des facteurs est fixe et l'autre est variable. [...]
[...] La surface jaune entre les deux courbe va constituer une perte de profit associé au fait de produire q1. Si l'entreprise se situe maintenant au niveau de production q2, le coût marginal est supérieur à la recette marginale (la courbe noire sur la partie rouge de la courbe Rm). La surface bleue indique la perte de profit associée à la production de q2. Ainsi nous retrouvons les conditions de maximisation du profit, annoncées précédemment, au point A où la recette marginale est égale au coût marginal. [...]
[...] AB mesure la perte de l'entreprise. Mais le fait de subir une perte à court terme ne signifie pas que l'entreprise va quitter le marché. Elle peut choisir de rester en subissant des pertes et espérer faire des bénéfices plus tard. Les profits futurs espérés peuvent provenir de l'augmentation du prix du bien, une diminution des coûts de production. Mais aussi l'entreprise décide de rester sur le marché parce que fermer alors qu'on a investie des sommes n'est pas très rationnel et par ailleurs fermer pour rouvrir peut être plus couteux que subir quelques pertes. [...]
[...] Ce qui signifie que sur chaque unité vendue il gagne un supplément de 10-1 =9. Son gain total sera donc sur toutes les 100 unités de biens produit. Le calcul de ce surplus revient à calculer l'aire du triangle bleu. [...]
[...] A partir de là on détermine la courbe de production de l'entreprise qui correspond à la partie du coût marginal à partir de laquelle le coût moyen variable est à son minimum. Le surplus de producteur est représenté par la surface bleue. La courbe d'offre O qui est ici une droite représente ce que le producteur veut produire pour chaque niveau de prix. sur l'axe des ordonnées (verticale), on voit que le producteur est prêt à offrir une quantité positive pour un prix juste supérieur à 1$.Or le marché signale qu'il peut vendre à 10$. [...]
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