Mercantilisme, économie, Aristote, prêt, intérêts, métaux précieux, or, richesse, individu, société, capitalisme, pays riche, pays pauvre, décroissance, commerce international, physiocrate, Quesnay, Turgot, Lavoisier, source de valeur, déiste, production, consommation, épargne
Aristote s'intéresse à la question du taux d'intérêt. Est-il légitime, lorsqu'on prête de l'argent, de demander plus que ce que l'on avait prêté ?
Il y a un prêteur et un emprunteur. Celui qui fait un prêt prête une certaine somme et il demande en contrepartie une somme plus élevée.
Aristote s'interroge sur le bienfondé de cela. La logique du prêt, c'est qu'habituellement on attend que l'autre rende ce qu'on a prêté.
Le taux d'intérêt serait la rémunération du risque.
Aristote disait « l'intérêt c'est un scandale ! ». En effet, on oblige à rembourser plus que ce qu'on a prêté.
[...] Les mercantilistes ont des bases qui font encore partie des nôtres. On a encore aujourd'hui la même philosophie. En effet, il y a plein de manières de s'organiser d'un point de vue économique : La forme espagnole du mercantiliste : pays avec des échanges avec le reste du monde. Nous vendons donc des produits au reste du monde (exportation) et au contraire (importation). La contrepartie des exportations c'est les entrées d'argent, a contrario, des sorties d'argent pour les importations. On va interdire les achats de l'or. [...]
[...] Les mercantilistes, pensée dominante en économie de 1450 à 1750 Aristote s'intéresse à la question du taux d'intérêt. Est-il légitime lorsqu'on prête de l'argent d'en demander plus que ce qu'on avait prêté ? Il y a un préteur et un emprunteur. Celui qui fait un prêt prête une certaine somme et il demande en contrepartie une somme plus élevée. Aristote s'interroge sur le bienfondé de cela. La logique du prêt, c'est qu'habituellement on attend que l'autre rende ce qu'on a prêté. [...]
[...] Conclusion Ce que montrent les physiocrates, c'est que l'investissement est quelque chose d'essentiel Pour partie, la politique monétaire européenne utilise l'investissement sans épargne. Le défaut de la théorie mercantiliste, c'est qu'elle souffre d'une limite majeure = la source de la richesse. L'agriculture est une activité humaine. Elle se matérialise d'abord par une nécessité (le travail humain). Sans activité préalable il n'y a pas d'agriculture. L'agriculture est donc la source de la richesse. La source de la valeur ne peut pas être l'agriculture, car l'agriculture a besoin d'un travail humain. Adam SMITH met au cœur de son analyse le travail humain. [...]
[...] Si tout le monde résonne comme les mercantilistes, le commerce international n'a plus aucune valeur. La théorie mercantiliste pose un problème, si on va jusqu'au, bout chaque pays ne peut vivre en autarcie. La fin du courant mercantiliste Comment s'arrête le courant mercantiliste ? En effet, si la théorie mercantiliste s'est arrêtée, ce n'est pas parce que la théorie a été jugée fausse ou mauvaise. Mais pour deux raisons : On pourrait trouver des adaptations telles qu'ont limiterait la portée des critiques, les théoriciens sont capables de faire évoluer leur théorie pour lui permettre de répondre aux critiques dont elle fait l'objet. [...]
[...] On vit dans des sociétés où la richesse est la mesure de la réussite. Les mercantilistes désignent le changement de mentalité. Auparavant, la réussite ne se mesurait pas par une quantité d'argent. Un concept toujours présent au sein de notre société Dans le capitalisme, la mentalité s'exerce en pensant que « posséder de l'or, c'est posséder de la richesse » et que « la richesse est une source de bonheur ». Le but que doit poursuivre le gouvernement, c'est de faire en sorte d'augmenter la quantité d'or. [...]
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