Ménages, fonctions des ménages, épargne des ménages, consommation des ménages, agents économiques
Selon J Keynes, la consommation est le moteur de l'économie. La consommation inclut les besoins des ménages et les besoins des entreprises pour leur fonctionnement et production. Dans ce document, nous nous intéresserons aux ménages afin de percevoir le rôle du ménage dans l'économie.
[...] o Le niveau de salaire ne dépend pas seulement du niveau de compétence, mais aussi de l'offre et de la demande à un moment donné, de la région ou le marché de l'emploi se trouve Fonctions principales des ménages; épargne et consommation. Le revenu disponible des ménages permet aux ces derniers de consommer et d'épargner. La consommation des ménages est une consommation finale: elle est destinée à satisfaire directement les besoins (nutrition, se cultiver, loisir, Il y a plusieurs types de consommation: Consommation marchande = achat fait sur la place de marché pour le quotidien Autoconsommation = Consommation de biens et services non marchands fournis par des organismes publics sans contrepartie monétaire (enseignements publics, soins remboursés, ) et biens et services financés indirectement (par des prélèvements obligatoires), routes, ponts, chemins de fer, L'épargne des ménages est une composante important de l'épargne nationale et comprend trois éléments: Épargne contractuelle: exemple épargne destiné à l'achat d'un bien immobilier. [...]
[...] Les ménages et leurs fonctions Selon J Keynes, la consommation est le moteur de l'économie. La consommation inclut les besoins des ménages et les besoins des entreprises pour leur fonctionnement et production. Dans ce document, nous nous intéresserons aux ménages afin de percevoir le rôle du ménage dans l'économie Les ménages: agents économiques aux ressources diverses et variées Les ménages perçoivent trois types de revenus: Des revenus primaires[1], résultant d'une activité professionnelle en tant que salarié, entrepreneur ou associé d'une société (salaire et/ou bénéfice d'activité, dividendes) Des revenus de rentes issues d'héritage (revenu de la propriété). [...]
[...] Les déterminants de la consommation et de l'épargne sont multiples et controversés. Les économistes ont longtemps considérés que la consommation et l'épargne dépendaient du niveau des taux d'intérêt réel et du niveau général des prix. Selon les classiques, la propension à épargner serait une fonction croissante du taux d'intérêt réel (c'est-à-dire qu'une forte rémunération de l'épargne incite à épargner plus et donc consommer moins). Mais l'augmentation de l'épargne peut aussi à un effet revenu. Si les ménages gagnent plus, ils pourront épargner plus, donc le taux d'intérêt n'aura pas grand effet sur la volonté d'épargner. [...]
[...] Pour G. Becker, les différences de salaires selon les diplômes s'expliquent par les différences de productivité qui résultent elles-mêmes des différences d'investissement en capital humain. Plus un individu fait de longues et difficiles études, plus le niveau de revenu qu'il espère en tirer est plus élevé. Il aurait pu commencer à travailler plus tôt, ce qui permettrait de compenser le nombre d'années d'étude supplémentaire. Si le coût est quantifiable, l'individu arrêtera d'étudier lorsque que le coût d'une année d'études supplémentaires (coût marginal) sera égal au gain supplémentaire d'une plus grande qualification (bénéfice marginal). [...]
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