Une organisation en tant que telle a deux visions différentes. Une vision appelée large, où l'organisation est une unité organisationnelle autonome ou semi-autonome quel que soit le statut juridique, public ou privé. Une vision restreinte, où la notion d'entreprise est une unité économique qui produit et vend des biens et des services. Au sens large, une organisation peut être gérée par l'état, par une DRAC, et au sens restreint par des sociétés commerciales (SA, SARL), des sociétés civiles (professions libérales), des associations, des fondations rattachées au mécénat culturel. Les organisations artistiques et culturelles sont recensées selon plusieurs types de classements, eux-mêmes définis selon des critères particuliers : le secteur d'activité, la fonction de l'entreprise et sa taille ...
[...] Cependant, le marketing des arts et de la culture doit s'appliquer au contexte français. Le marketing est une théorie de l'échelle, on parle de politique de public au lieu de marketing dans un domaine artistique et culturel. En France, dans la création artistique, un produit culturel se situe plus souvent du côté de logique marketing que de l'art. L'articulation entre la culture et le marketing repose sur cette logique : dans la conception de l'œuvre elle-même, l'homme de marketing n'intervient pas. [...]
[...] Avec la valorisation sociale, on expose son rapport à la culture. Il y a la valorisation extrême dans le but exacerbée et la valorisation normale. Le marketing expérientiel : la psychologie de l'esthétisme permet de comprendre ce qui fait qu'un individu trouve un produit beau. Il existe quatre types de beauté : 1. la beauté interne à l'objet : harmonie et équilibre des formes de l'objet 2. la relation entre l'objet et l'observateur : la beauté propre à la subjectivité de celui qui regarde. [...]
[...] Il y a interaction des stratégies les unes aux autres. Les stratégies de croissance intensives o Les stratégies de pénétration de marché : l'entreprise cherche à développer les ventes de ses produits sur des marchés actuels grâce à un effort marketing plus soutenu - pousser les clients à augmenter le niveau d'achat : acheter plus d'unités en une fois (lots) ou renouveler plus souvent un achat unique. - Convaincre les consommateurs potentiels d'acheter : les ados seraient intéressés par la musique classique, mais freinés par la mauvaise d'image qu'elle pourrait donner d'eux. [...]
[...] Le rachat d'entreprise se fait soit en en amont, soit en aval. - intégration en amont : racheter des fournisseurs. Il y a un double intérêt : la rentabilité et une meilleure maîtrise de la chaîne. - Intégration en aval : racheter les grossistes/détaillants. L'Olympia racheté par Universal. - Intégration horizontale : racheter les concurrents. Les stratégies par diversification : l'entreprise cherche à accroître ses activités en mettant au point de nouvelles offres sur de nouveaux marchés. - diversification concentrique : introduire de nouveaux produits dont la technologie ou le savoir-faire sont complémentaires à la gamme existante. [...]
[...] Mieux connaître le consommateur, c'est mieux le satisfaire, et surtout mieux l'influencer. Comment leur proposer des produits plus intéressants ? Les pratiques sont différentes d'il y a 15 ans, et les théories ont évolué. En 2006, on a affaire à 7 grands univers, selon Oliver Donat : 1. Les exclus : individus non consommateurs d'art et de culture 2. L'univers du dénuement : très peu de pratiques culturelles 3. L'univers juvénile : adolescents où ma consommation st centrée sur la musique 4. [...]
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