Marché, entreprise, théories de la firme, firme, concurrence, consommateurs, producteurs
On remet ici en cause l'homo oeconomicus qui a un comportement type, représentatif des autres.
On raisonne plutôt en agent stratège qui agit selon la situation d'où un comportement complexe.
On remet en cause la concurrence pure et parfaite, surtout la transparence et l'atomicité.
Pourquoi la firme existe ? Pourquoi les consommateurs et les producteurs ne se réunissent-ils pas ponctuellement, contractuellement ? Pourquoi, à un moment donné, tout est rentré dans l'entreprise ?
[...] Chapitre 3 : Marchés imparfaits et prise en compte de la complexité On remet ici en cause l'homo oeconomicus qui a un comportement type, représentatif des autres. On raisonne plutôt en agent stratège qui agit selon la situation d'où un comportement complexe. On remet en cause la Concurrence Pure et Parfaite, surtout la transparence et l'atomicité. Marché et entreprise (les théories de la firme) Pourquoi la firme existe ? Pourquoi les consommateurs et les producteurs ne se réunissent-ils pas ponctuellement, contractuellement ? [...]
[...] George Akerlof, dans The Market for "Lemons" : Quality Uncertainty and the Market Mechanism (1970) étudie le marché des voitures d'occasions. L'acheteur est en forte asymétrie d'information : il pense qu'on lui vendra un lemon tacot). Du coup, il se méfie et n'achète que les voitures à prix bas (pour ne pas se faire trop avoir). Le vendeur ne vendra alors que des lemons car il sait que l'acheteur ne lui fait pas confiance et car ça ne vaut pas la peine de vendre des bons modèles. Cela baisse également les prix. [...]
[...] Elle fait l'hypothèse que les autres entreprises cherchent aussi la décision optimale. Pour John Nash, chaque entreprise prend une décision optimale compte tenu de la réaction des autres ; cela détériorerait la situation acquise de prendre une décision autre. Le modèle d'Antoine-Augustin Cournot (1838) Deux entreprises produisent un bien homogène et s'adressant à la demande entière. Ces entreprises font des décisions simultanées ; cela touchera la production totale du marché. Hypothèse : chaque entreprise suppose, lors de sa décision, que la production de l'autre est décidée. [...]
[...] Les mauvais clients restent car ils n'ont pas le choix. L' aléa moral et les théories de l'agence Il y a aléa moral dès qu'un contrat est passé : l'un des contractants ne sait pas si l'autre va respecter le contrat, surtout à cause de l'asymétrie d'information. Cela peut amener l'un des cocontractants à prendre des décisions (ex. salaire d'efficience). La théorie de l'agence, montrant la relation principal-agent, se développe avec le début des cadres : La théorie positive s'est surtout préoccupée des relations entre actionnaires et dirigeants. [...]
[...] Prahalad et Gary Hamel, dans The core competence of corporations, insistent sur le cœur de compétence des firmes qui se recentrent, depuis les 1980s, sur le cœur d'activité (raison financière). Harvey Leibenstein évoque l' efficience X l'efficacité de l'entreprise qui n'est pas mesurable, ni même identifiable. C'est le goodwill, la différence entre valeur comptable et valeur réelle. On essaye de plus en plus de l'évaluer mais c'est compliqué. La firme est un lieu d'autorité et de coopération Les avantages de l'autorité au sein de la firme L'entreprise institutionnalise l'autorité, le rapport au pouvoir. Ce n'est pas le cas du marché = B). [...]
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