Macroéconomie, science économique, économie, reproduction matérielle, théorie économique, pensée économique, Karl Marx, entrepreneur schumpetérien, pensée économique contemporaine, pensée keynésienne, valeur-travail, William Stanley Jevons, Léon Walras, Carl Menger, coût de production, John Maynard Keynes, agent économique, création d'entreprise, révolution marginaliste, cycle de Kondratiev, Joseph Schumpeter, cycle économique, grappes d'innovation, politique budgétaire, effet inflationniste, James Buchanan, Gordon Tullock, courbe de Laffer, Arthur Laffer, travail au noir, polititques libérales, théorie du déséquilibre, école de la régulation, NEK Nouvelle Économie Keynésienne, crise des subprimes, théorie des contrats implicites, capitalisme financier, crise pétrolière
L'économie est l'ensemble des activités de production et d'échange destinées à la reproduction matérielle de la société. L'économie s'appuie sur une réalité : les besoins des hommes sont illimités, et le but de l'économie est de satisfaire les besoins des hommes. Ce document traite de la notion d'économie et l'objet de la science économique en reprenant les théories économiques.
[...] Libre-échange = source de croissance économique. La pensée économique classique Adam Smith (1723-1790) : 1776 = la richesse des nations, métaphore de la main invisible (chaque agent économique en poursuivant son intérêt individuel, contribue à l'intérêt général = le marché assure la régulation du marché économique sans l'intervention de l'État). David Ricardo (1772-1823), les avantages comparatifs : Libre circulation des biens et des services en supprimant taxes douanières = spécialisation selon l'avantage comparatif (la valeur d'un bien dépend de la quantité nécessaire à sa production) + division internationale de la production. [...]
[...] Ces économistes disent que cela dépend du salaire, donc il faut proposer un salaire supérieur au salaire d'équilibre du marché, MAIS le problème est que cela mène à une croissance du nombre de chômeurs. Théorie des contrats implicites : travailleurs sont averses aux risques, ils préfèrent un salaire stable (ni augmentation ni diminution), car ils ont peur de l'avenir, lorsque l'activité est en boum (il demande plus aux travailleurs = demande d'absorber la masse de travail), il n'y aura donc pas d'embauches = entreprises neutres au risque. [...]
[...] Il existe différents types de biens : Matériels (aller chez le coiffeur = la coupe de cheveux), De consommation (satisfait directement le besoin du consommateur), De production (bien à satisfaction indirect pour le consommateur, bien qui permet d'obtenir d'autres biens), Intermédiaires (produits bruts dont la transformation ou la combinaison donne lieu à un bien de production ou de consommation ex : tronc d'arbre pour faire meuble). Le problème de l'économie : écart entre les besoins illimités et des biens rares. Nécessitent des choix (l'Homme va faire des choix économiques). Il existe trois moments de la vie économique : production (moment où l'on fabrique), répartition (destination de la production et formation des revenus), et la dépense (comment les biens et services vont-ils être dépensés). L'économie vue par les économistes - Les grands courants de la pensée économique Les origines de la pensée économique Aristote (384-322 av. [...]
[...] Mais il n'y a pas d'augmentation de la consommation, donc les politiques de relance sont inefficaces et on observe une stagnation de la croissance économique (explique la stagflation). Concept taux de chômage naturel = niveau de chômage en dessous duquel il n'est pas possible de descendre, et ce, pour 4 raisons : Imperfection sur le marché du travail (l'état fixe un salaire minimum, donc tous les salariés ne trouvent pas un emploi) ; Variations aléatoires dans l'offre et la demande de travail (lorsqu'il y a une baisse de la population active, la demande de travail diminue) ; Coût d'information (nous n'avons pas une parfaite information sur le marché du travail) ; Coût de mobilité (quand bien même on aurait connaissance de l'information, on n'est pas forcément apte à se déplacer, attache familiale). [...]
[...] Mais à long terme, ils modifient leurs comportements et anticipent les effets inflationnistes d'une politique de relance. L'école des choix publics et l'économie de l'offre : James Buchanan et Gordon Tullock remettent en cause l'intervention de l'état = ils sont contre la production de biens publics. Ils mettent en cause la procédure démocratique en matière de dépenses publiques (car les hommes politiques ne mettent des politiques de dépenses publiques que pour servir leurs intérêts électoraux), choix d'investissements = pression politique exercée par les lobbies. [...]
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