Macroéconomie, microéconomie, John Maynard Keynes, économie, marché du travail, politique gouvernementale, richesse, TEE Tableau Économie d'Ensemble, production, exploitation, affectation des revenus primaires, distribution secondaire des revenus, utilisation du revenu, capital, société non financière, économie d'ensemble, administration publique, comptabilité nationale, bon du Trésor, État, obligations, sécurité de l'emploi, plan Marshall, droit de douane, amortissement comptable, chômage, agent économique, revenu primaire, EBE Excédent Brut d'Exploitation, revenu mixte, salaire, cotisation sociale, institution financière, ISBLSM Institution Sans But Lucratif au Service des Ménages, budget de l'État, consommation des ménages, impôts, dépenses publiques, capital fixe, dividendes, collectivités territoriales, BCE Banque Centrale Européenne, banque de second rang, système français, dette publique, consommation effective, consommation collective, coût de production, allocations, taux de chômage, BIT Bureau International du Travail, Pôle emploi, opération comptable, FBCF Formation Brute de Capital Fixe, compte de production, cotisation salariale, prestation sociale, économie fermée
La macroéconomie est une autre approche de l'économie avec une vision agrégée. Son utilité est d'étudier des domaines vastes (chômage, inflation...), car ces éléments ont un rôle à jouer sur le niveau de bonheur des individus. On va parler de taux d'intérêt. L'État va chercher à modifier ses politiques économiques pour améliorer le bonheur. La macroéconomie sert beaucoup aux politiques gouvernementales, puisque la création de richesse dans un pays permet le niveau de bien-être des individus. C'est une vision assez récente de l'économie (moins d'un siècle : 1936 KEYNES, « Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et la monnaie »).
[...] Donc, on parle l'offre de la force de travail qui émane des ménages. La demande émane des sociétés financières ou non, l'État et aussi les ISBSLM. L'offre de travail émane de la population active (15 et 62 ans ; population qui occupe un emploi ou qui en recherche un étudiant ne rentre pas dans les calculs du chômage. La difficulté c'est que l'offre de travail est fixe, elle évolue peu, soumise aux effets démographiques. Face à cette offre, il y a une demande qui dépend très fortement de l'activité économique. [...]
[...] Ce rapport de PIB par habitant peut être une première évaluation du niveau de vie (France meilleure que la Chine). Mais ce n'est qu'une moyenne : des gens s'écartent de la moyenne dans les 2 sens. Ce PIB par habitant ne devrait pas cacher les inégalités. Le seuil de pauvreté c'est quand on gagne du revenu médian. Le niveau médian est le niveau de revenu qui sépare la population entre ceux qui gagnent plus et ceux qui gagnent moins, contrairement à une moyenne : un milliardaire compte pour un et un SDF pour un aussi. [...]
[...] Au cours du temps, la structure des emplois dans le pays évolue. Maintenant les emplois sont plus orientés vers les services. L'industrie a réussi à baisser ses coûts de travail et donc moins besoin de personne. On dit que l'on est dans une société post-industrielle. L'application du chômage de masse a coïncidé avec le passage de l'économie dans cette société. Quand il y a de la production de masse : travail à la chaîne : on n'a pas besoin de grandes compétences donc on trouve sans grande difficulté, car travail simple et basique. [...]
[...] Sur les marchés financiers, il y a un problème propre où le travail est de fait des échanges financiers. Le problème est que les gens qui gagnent de l'argent sont peu nombreux. Une partie des gens qui investissent ne savent pas ce qui va se passer. Il y a de l'argent qui se perd et qui pourrait être utilisé au profit du marché des biens et des services. Le marché essentiel dans l'économie est celui des biens et de services. Les marchés financiers, il y a des transferts de richesse et pas de création de richesse. [...]
[...] Le moyen de réduire les coûts de production est de réduire le coût de main-d'œuvre directe, quand l'entreprise licencie, elle augmente sa marge donc plus de bénéfice à court terme. Si l'entreprise réduit sa main-d'œuvre directe à long terme pas bon signe. Les actionnaires défendent les intérêts personnels, mais celle de l'entreprise. L'essentiel de la richesse créée dans le pays amène des entreprises. L'État On y désigne l'administration centrale (organisme divers, gouvernement et ministère), toutes les préfectures, toutes les collectivités de la décentralisation. Ex. [...]
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